(6 commentaires)

  1. Ne vous faites pas d’illusions, l’on ne saura jamais la vérité, comme pour le procès Colonna, le suicide de Beregovoy, Boulin etc etc. Si proces de ce drame peut apporter un soulagement aux réelles victimes, tant mieux, mais quand je vois tous les requins assoiffés d’argent qui au nom d’associations bidon se portent partie civile, cela m’écoeure

  2. Bonjour
    Le colonel Donin ne se souvenait plus si l’ordre de modifier la procédure en usage concernant les personnes DCD était venu de la préfecture ou bien …du procureur de la République!

  3. A propor des chantements de stratégie des autorités sur le sorts des victimes; il faut préciser que, dès 15H30 le 21 Septembre 2001, ordre avait été donné à l’entreprise Cassin TP de réaliser un chemin de déblaiement exactement situé sur la très grande trace au Nord-Ouest du cratère filmée à 13H45 par l’hélico de la gendarmerie. Cette très grande trace était dirigé vers la voiture allemande de HJ, stationnée sur le parking Nord du bâtiment RCU d’AZF, voiture dont la justice ne s’est jamais préoccupé de savoir d’où elle venait.
    C’est aussi dans l’axe de cette trace effacée le 21-9-2001 qu’a été mesuré des anomalies magnétiques quelques semaines plus tard.
    Autre précision stupéfiante : aucune photo des victimes prise sur leur lieu de décès n’a été introduite au dossier, à tel point que le juge Thierry Perriquet en 2003 a été incapable de confirmer la position exacte de certaines de ces victimes suite à cette étonnante absence.

  4. Point sur la séance de jeudi au + tot
    Elément fort de la journée : l’audition de Jacques Mignard, PDT de « Memoire et Solidarite » (salariés de l’usine)

  5. Affaire Borrel …
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    Affaire Borrel : rebondissement possible
    AFP
    17/03/2009 |
    Elisabeth Borrel, la veuve du juge français Bernard Borrel tué en 1995 à Djibouti, demande la réouverture d’une enquête pour subornation de témoin sur la base de documents inédits de l’ex-cellule « Afrique » de l’Elysée saisis par des juges en 2008, a annoncé une source proche du dossier.
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    « Il apparaît que ces actes d’instruction ont été extrêmement fructueux, montrant combien l’Etat français, à son plus haut niveau, a tout tenté sous la présidence de Jacques Chirac pour étouffer la recherche de la vérité », écrit Borrel dans sa demande adressée le 16 mars à la justice.
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    Le juge Borrel avait été retrouvé mort en 1995 à Djibouti, le corps à demi-calciné. Djibouti a conclu à un suicide mais l’enquête française privilégie la thèse d’un assassinat.
    Des témoignages dont celui de l’ex-membre de la garde présidentielle Mohamed Saleh Alhoumekani, mettent directement en cause le président Ismaël Omar Guelleh et son entourage.
    Parallèlement à l’enquête criminelle, deux enquêtes judiciaires ont été menées en France.
    La première pour « pression sur la justice », dans le cadre de laquelle des documents élyséens ont été saisis, est toujours en cours à Paris.
    La seconde pour « subornation de témoins », que Borrel voudrait voir réouvrir, s’est conclue par le renvoi en correctionnelle à Versailles (banlieue parisienne) de deux proches du président Guelleh.
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