N’oubliez pas chère Elisabeth qu’en économie et surtout chez les PME, si vous bloquez la sortie vous bloquez l’entrée…
c’est mécanique et mathématique, le marché du travail n’est PAS un marché car entravé de part et d’autres, de partout et tout le temps.
Justement, il n’est pas question de bloquer la sortie, loin de là, mais de gerer le travailleur tout au long de son cursus, en capitalisant son experience notamment.
Le salarie devient acteur responsable de l’economie.
A votre disposition, si besoin de + de precisions.
+ de precision :
« visent à garantir à chaque personne une continuité de ses droits, indépendamment des mobilités professionnelles ou des ruptures rencontrées » … cela suppose bien qu’il y ait sortie .
En tout état de cause, je ne me considère pas comme porteur du projet, mon objectif est de le vous présenter.
Tiens, tiens :
« Sans parler de « Grenelle social », ballon d’essai lancé jeudi en référence aux négociations de 1968, le président a invité le gouvernement à ouvrir un « grand débat national » sur des thèmes comme la SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS et les liens entre université et monde du travail. »
« Et, chacun à sa place doit agir en responsabilité », a-t-il conclu. » …
à lire avec :
« Pour réussir la sécurisation des parcours professionnels il faut parvenir à responsabiliser tous les acteurs »
Le travail dans une économie de marché ne se décréte pas : cette remarque est valable pour le gouvernement actuel aussi bien que pour les partenaires sociaux. Quand on aura enfin compris ça la situation sera meilleure.
Le travail se crée lorsque des conditions favorables sont en place et s’auto-entretiennent. Ce n’est pas en fabriquant du sous emploie que l’on va créer de la richesse (CPE & CNE). Donc ce type de contrat est inutile et les gens qui perdent leur temps à négocier ça nous maintiennent dans l’immobilisme. L’illusion a l’air de fonctionner mais ne rapporte rien à personne.
Pour créer un environnement favorable à l’emploie il FAUT BAISSER LES CHARGES sur le travail et que les principaux acteurs (ceux qui bossent) s’y retrouvent. Je propose une baisse des cotisations sociales EN FAVEUR des travailleurs. Cela leur donnera un gain de pouvoir d’achat supplementaire. Cela permettra de faire évoluer notre régime de re-distribution de la richesse et de le rendre plus juste, plus économe et plus efficace.
Vous savez les couts globaux pour un employeur dans les pays Occidentaux sont plus ou moins les mêmes (à 10 ou 20 % prêt). Seule la distribution des couts entre salaire net et charges changent.
C’EST LA SEULE REFORME QU’IL FAUT FAIRE. Le reste consiste à maintenir en place un systéme de re-distribution qui est mathématiquement à bout de soufle…en mécontentant tout le monde…
Enfin un syndicat qui bouge !!!!
La CFTC,
Le CREATEUR DU STATUT DU TRAVAILLEUR ! Beau slogan non ?
Depuis qu’un homme a demandé à un autre de l’aider à récolter son champ, il y a
conflit entre le capital et le travail.
Pour pousser le statut du travailleur un peu plus loin, peut-être pourrait-on séparer les antagonistes.
L’entrepreneur a besoin de matières premières , de services et de main d’
N’oubliez pas chère Elisabeth qu’en économie et surtout chez les PME, si vous bloquez la sortie vous bloquez l’entrée…
c’est mécanique et mathématique, le marché du travail n’est PAS un marché car entravé de part et d’autres, de partout et tout le temps.
Justement, il n’est pas question de bloquer la sortie, loin de là, mais de gerer le travailleur tout au long de son cursus, en capitalisant son experience notamment.
Le salarie devient acteur responsable de l’economie.
A votre disposition, si besoin de + de precisions.
+ de precision :
« visent à garantir à chaque personne une continuité de ses droits, indépendamment des mobilités professionnelles ou des ruptures rencontrées » … cela suppose bien qu’il y ait sortie .
En tout état de cause, je ne me considère pas comme porteur du projet, mon objectif est de le vous présenter.
Tiens, tiens :
« Sans parler de « Grenelle social », ballon d’essai lancé jeudi en référence aux négociations de 1968, le président a invité le gouvernement à ouvrir un « grand débat national » sur des thèmes comme la SECURISATION DES PARCOURS PROFESSIONNELS et les liens entre université et monde du travail. »
« Et, chacun à sa place doit agir en responsabilité », a-t-il conclu. » …
à lire avec :
« Pour réussir la sécurisation des parcours professionnels il faut parvenir à responsabiliser tous les acteurs »
Le travail dans une économie de marché ne se décréte pas : cette remarque est valable pour le gouvernement actuel aussi bien que pour les partenaires sociaux. Quand on aura enfin compris ça la situation sera meilleure.
Le travail se crée lorsque des conditions favorables sont en place et s’auto-entretiennent. Ce n’est pas en fabriquant du sous emploie que l’on va créer de la richesse (CPE & CNE). Donc ce type de contrat est inutile et les gens qui perdent leur temps à négocier ça nous maintiennent dans l’immobilisme. L’illusion a l’air de fonctionner mais ne rapporte rien à personne.
Pour créer un environnement favorable à l’emploie il FAUT BAISSER LES CHARGES sur le travail et que les principaux acteurs (ceux qui bossent) s’y retrouvent. Je propose une baisse des cotisations sociales EN FAVEUR des travailleurs. Cela leur donnera un gain de pouvoir d’achat supplementaire. Cela permettra de faire évoluer notre régime de re-distribution de la richesse et de le rendre plus juste, plus économe et plus efficace.
Vous savez les couts globaux pour un employeur dans les pays Occidentaux sont plus ou moins les mêmes (à 10 ou 20 % prêt). Seule la distribution des couts entre salaire net et charges changent.
C’EST LA SEULE REFORME QU’IL FAUT FAIRE. Le reste consiste à maintenir en place un systéme de re-distribution qui est mathématiquement à bout de soufle…en mécontentant tout le monde…
Enfin un syndicat qui bouge !!!!
La CFTC,
Le CREATEUR DU STATUT DU TRAVAILLEUR ! Beau slogan non ?
Depuis qu’un homme a demandé à un autre de l’aider à récolter son champ, il y a
conflit entre le capital et le travail.
Pour pousser le statut du travailleur un peu plus loin, peut-être pourrait-on séparer les antagonistes.
L’entrepreneur a besoin de matières premières , de services et de main d’