Retenez bien ces propos, ils pourraient être prémonitoires …
Selon Panos Kammenos, ministre grec de la Défense, si la Grèce explose, sous-entendu si elle sort de la zone euro, l’Espagne et l’Italie pourraient en faire de même, puis même à terme l’Allemagne. Aboutissant au final à l’implosion toute entière de la zone euro … à la plus grande joie des Etats-Unis et de la finance US ….
S’exprimant dans le journal allemand Bild, le chef de file des Grecs indépendants, parti de droite allié au parti de gauche radicale Syriza au gouvernement, s’est également insurgé contre le ministre des Finances allemand, l’accusant d’ingérence dans les affaires grecques. Laissant entendre que Berlin poussait la Grèce à s’affranchir de la monnaie européenne, il a par ailleurs tenu à souligner les conséquences négatives pour l’Union européenne toute entière si le gouvernement grec prenait la décision de sortir de la zone euro.
Panos Kammenos a également « le sentiment que le gouvernement allemand essaie » de « coincer » la Grèce, affirmant même « que certains veulent vraiment » pousser la Grèce en dehors de la zone euro. »
Pour lui, il faut au contraire « trouver une issue au sein de la zone euro » sans toutefois que la solution ne passe par un maintien des remboursements effectués par Athènes.
Rappelons à cet égard que Syriza a en janvier dernier remporté les élections législatives en grande partie grâce à sa promesse de mettre fin à la politique d’austérité exigée par les autres pays membres de la zone euro en contrepartie du maintien d’une aide financière internationale.
Selon, Panos Kammenos, la Grèce n’a pas besoin d’un troisième plan d’aide mais plutôt d’une « décote comme celle dont a bénéficié l’Allemagne en 1953 à la conférence de Londres sur la dette ».
Le ministre a également tenu à souligner que la Grèce perdait de l’argent avec les sanctions prises par l’Union européenne contre la Russie en raison de la politique menée par cette dernière en Ukraine. Au final selon lui, la situation est préjudiciable pour l’économie grecque, et devrait selon lui conduire l’UE à verser des indemnités à Athènes. « Nous ne pouvons pas et ne voulons pas participer à des sanctions contre la Russie, qui ne font que nuire à notre économie », a-t-il prévenu.
Autre dossier alarmant aux yeux du ministre grec de la défense : l’épineux et douloureux dossier de l’immigration. Panos Kammenos a tenu à rappeler à cet égard que la Grèce était une porte d’entrée de l’Union européenne pour nombre d’immigrés et qu’elle pourrait cesser d’accueillir des réfugiés en cas de sortie forcée de la zone euro.
« Plus aucun accord ne serait valide, plus aucun traité, rien. Nous ne serions plus contraints d’accepter les réfugiés en tant que pays d’entrée. Quiconque souhaite nous pousser hors de la zone euro devrait avoir conscience de cela », a ainsi alerté le ministre.
Mais attardons nous un instant sur les propos d’un certain Sarkozy – certes dénommé Oliver mais tout de même demi-frère de Nicolas – prononcés en novembre 2011 alors que la sortie de la Grèce de la zone euro semblait alors aussi dangereuse qu’inévitable. Un « avis » pour le moins édifiant qui en dit long sur l’intérêt porte par la finance US sur le sujet.
S’exprimant alors sur la chaîne américaine CNBC (chaîne américaine), Olivier Sarkozy, un des dirigeants de tout premier ordre de Carlyle Group – puisque qu’il préside la gestion du fonds d’investissement Carlyle – a annoncé que « l’euro allait exploser avant trois mois ». Ajoutant : « nous sommes tout proches du point de non retour ». Anticipation clairvoyante d’un expert du domaine ou plutôt vœu pieux, voire stratégie bien ordonnée ?
Une déclaration survenant alors que l’Allemagne avait alors elle-même du mal à trouver de l’argent sur les marchés et que Nicolas Sarkozy se battait pour maintenir la note de la dette souveraine de la France …
Olivier Sarkozy avait alors évoqué un problème « insolvable » de 30.000 milliards de dollars dans la zone euro tout en affirmant que le « point de bascule » risquait de se produire bien plus tôt que l’on ne se l’imagine.
Dans un tel contexte, le demi-frère de Nicolas Sarkozy exhortait les dirigeants européens à organiser d’urgence un plan de plusieurs milliards de dollars sur le modèle du plan Paulson américain mis en place après la crise de 2008. Selon lui, le véritable problème ne serait pas directement lié à la dette des États, mais à la vulnérabilité du secteur bancaire.
Sources : AFP, Reuters, Le Post, CNBC
Elisabeth Studer – 15 mars 2015 – www.leblogfinance.com
La grèce devrait participer à l’euromillions, c’est un moyen facile de remplir les caisses !
Oui la privatisation des loteries et autres merdes style poker par internet c’est vraiment la modernité à la maison !! et en plus c’est parfaitement démocratique car statistiquement pratiquement tout le monde perd. Donc tout le monde est égal.
Quand la pourriture est égalité, on ne sait plus trop ce qui est liberté et fraternité !!
La grèce y pense …. cf.
La Grèce vend sa loterie nationale
30/07/2013 à 15h32
Tout est bon pour faire rentrer de l’argent dans les caisses. Après avoir annoncé la mise en location des biens immobiliers de l’Eglise orthodoxe ce mardi 30 juillet, Athènes indique avoir conclu un accord pour vendre sa loterie nationale. Un préalable à la privatisation du monopole grec des jeux de hasard, Opap.
La vente à un consortium mené par Opap devrait rapporter 190 millions d’euros au Trésor grec. La vente de la participation de l’Etat, de 33% dans Opap au fonds gréco-tchèque Emma Delta fera par ailleurs entrer 652 millions d’euros dans ses caisses.
La Grèce s’est fixé pour objectif de lever 1,6 milliard d’euros via des privatisations en 2013. La vente des participations de l’Etat sont une des conditions fixées par les créanciers internationaux du pays en contrepartie de leur aide financière.
Si la Grèce venait à sortir de la zone euro, il est certain que d’autres pays suivront. L’Espagne la première je pense.
A voir avec le temps mais si la Grèce quitte l’euro c’est la porte ouverte à d’autres départs …
C’est pour cette raison que la Grèce ne peut pas sortir de la zone euro, si c’est le cas, j’ai peur pour l’économie européenne…
oui, Adam …. cela pourrait être une stratégie US ou plutot de Goldman Sachs – bien « implanté » au sein des dirigeants de l’UE – pour plomber l’euro face au dollar.
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