Nouveau retour de bâton et effet boomerang ? Alors que nous indiquions très récemment que Israël pourrait être à son tour impacté par la crise financière qui frappe actuellement la Russie, via notamment la baisse de de la fréquentation touristique ayant pour origine la population russe, et tout particulièrement par la diminution importante des touristes médicaux, l’Association israélienne d’agriculteurs vient d’avertir que les aléas financiers auxquels est confrontée actuellement la Russie pourrait avoir des effets dévastateurs sur les exportations agricoles de l’Etat hébreu. En effet, le marché russe d’exportation de produits de base israéliens (pommes de terre, poivrons, carottes, radis, avocats et agrumes) représente 30% des exportations totales de l’Etat hébreu.
La situation est si préoccupante que la « Farmer association » (l’Association des Agriculteurs), antenne d’assistance pour les organisations agricoles israéliennes, a prévu de tenir une réunion d’urgence mercredi pour discuter de l’impact de la crise russe sur l’industrie locale.
Dans une lettre envoyée aux agriculteurs et aux exportateurs, Meir Zur le président de la Farmers Association s’alarme en ces termes : « La situation financière en Russie a un impact direct sur les exportations agricoles d’Israël. Les pertes immédiates subies par les agriculteurs s’élèvent à 200 millions de shekels (51 millions de dollars). C’est une situation extrêmement grave qui requiert une intervention immédiate du gouvernement « .
Selon lui, « les agriculteurs et les exportateurs » sont « au bord de la ruine financière », durement frappés par une diminution conséquente du volume des exportations. Pire encore : les agriculteurs israéliens redoutent que les clients russes n’honorent pas leurs dettes en raison de la crise.
Petite précision et non des moindres : suite aux sanctions européennes prises à l’encontre de la Russie face à sa politique menée en Ukraine, le ministre israélien d’agriculture Yaïr Shamir a récemment promis d’occuper sans tarder la part du marché russe qui appartenait auparavant aux compagnies européennes. Une position de l’Etat hébreu qui intervient alors qu’il est lui-même sujet à des sanctions de la part de l’Union européenne, laquelle ouvre en vue de restreindre la colonisation israélienne des territoires conquis en juin 1967.
Quant aux relations particulières qui réunissent Israël et Russie, rappelons que le président de la Knesset est né en Ukraine et a grandi en Russie soviétique. Le président de la commission parlementaire des relations extérieures est également soviétique d’origine, le ministre des affaires étrangères, lui aussi, est issu de l’ancienne URSS.
Au final, Israël abrite la plus grande diaspora russophone, plus d’un million de personnes. Il y a quelques années les deux pays ont aboli l’exigence du visa, ce qui a grandement contribué au développement du tourisme russe à destination d’Israël.
Avantage qui se retourne désormais en inconvénient, les revenus des touristes russes fondant comme neige au soleil.
Sources : Jewish Press , Dedefensa.org
Elisabeth Studer – www.leblogfinance.com – 26 décembre 2014
C’est bien connu, une crise frappant un grand État touche rarement seulement cet État. Elle a toujours des impacts avec les autres État avec lesquels il traite des affaires.
Selon le président d’un syndicat agricole basé en Belgique, les exportations agroalimentaires européennes se sont réduites de près de moitié suite à l’embargo russe.
Les producteurs agricoles de l’Union européenne ont subi un manque à gagner de 5,5 milliards d’euros suite à l’embargo décrété par la Russie sur les denrées alimentaires en provenance des pays ayant instauré des sanctions contre Moscou, a annoncé vendredi Albert Jan Maat, président du syndicat agricole Copa-Cogega basé à Bruxelles.
« Les producteurs de lait, de viande porcine et de fruits et légumes de l’UE sont touchés de plein fouet par l’embargo sur les exportations imposé par la Fédération de Russie. Cet embargo commercial, dont les agriculteurs et les coopératives agricoles sont les victimes, a fait diminuer de près de moitié, soit de 5,5 milliards d’euros, nos exportations agro-alimentaires », a déclaré Albert Jan Maat cité dans un communiqué mis en ligne sur le site du Copa-Cogega.
Les agriculteurs français affectés par l’embargo russe
En représailles aux sanctions occidentales contre la Russie, Moscou a décrété un embargo sur certains produits alimentaires en provenance des Etats-Unis, de l’UE, du Canada, de l’Australie et de la Norvège. La liste de ces denrées a été publiée le 7 août 2014. Elle comprend notamment les produits laitiers, les viandes, les poissons et les fruits et légumes.
Fin juin 2015, l’embargo sur les denrées provenant des pays visés par les contre-sanctions russes a été prorogé jusqu’au 5 août 2016.
Le 29 juin, le président Vladimir Poutine a signé un décret enjoignant aux autorités compétentes de détruire à la frontière les denrées alimentaires acheminés vers la Russie en violation de cet embargo.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/economie/20150801/1017330190.html#ixzz3heUaWdMW
Les éleveurs français de porc touchés par l’embargo russe.
L’embargo russe sur les denrées alimentaires occidentales, a fait perdre aux éleveurs français 20 centimes le kilo de porc, a annoncé le président de la fédération porcine (FNP) Paul Auffray, cité par la RTBF.
Pour le porc, « on a estimé que l’embargo coûte 20 centimes du kilo aux éleveurs français », car l’embargo a causé « un embourbement du marché européen qui a fait baisser les prix », a déclaré le responsable.
« Le débouché russe était d’autant plus intéressant qu’il permettait de vendre des abats et autres pièces grasses », qui n’intéressent pas forcément les autres marchés, a-t-il expliqué.
« Certaines de ces pièces ont été ré-aiguillées vers l’Asie et notamment la Chine », mais pas dans les mêmes conditions car « quand on est dos au mur les nouvelles destinations vous les trouvez à un prix inférieur », a déploré M.Auffray.
En représailles aux sanctions occidentales contre la Russie, Moscou a décrété un embargo sur certains produits alimentaires en provenance des Etats-Unis, de l’UE, du Canada, de l’Australie et de la Norvège. La liste de ces denrées a été publiée le 7 août 2014. Elle comprend notamment les produits laitiers, les viandes, les poissons et les fruits et légumes.
Fin juin 2015, l’embargo sur les denrées provenant des pays visés par les contre-sanctions russes a été prorogé jusqu’au 5 août 2016.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/economie/20150726/1017233929.html#ixzz3heV0oxqn
La viande de porc submerge le marché européen, ce qui entraîne une chute des prix, estime Sophie Renard, chargée de mission dans le secteur porc au collège des producteurs de Belgique.
Les agriculteurs français affectés par l’embargo russe
L’embargo russe sur les produits alimentaires venant des pays de l’UE, de la Norvège, de l’Australie, du Canada et des Etats-Unis, a abouti à l’engorgement du marché européen de la viande de porc, ce qui a entraîné une chute des revenus des éleveurs, a fait remarquer Sophie Renard.
« Cette viande, qui ne peut plus être exportée vers la Russie, se retrouve sur le marché européen, elle submerge le marché. Cela signifie que l’offre augmente tandis que la demande baisse », a annoncé l’experte dans une interview accordée à la radio RTBF.
Selon elle, la chute des prix « a un impact négatif » sur les éleveurs de porc belges.
Avant l’introduction de l’embargo la Belgique exportait en Russie plus de 34.000 tonnes de viande de porc par an. L’interdiction des exportations vers la Russie a privé les éleveurs belges de 4% de leurs débouchés.
Porc
© SPUTNIK. RUSLAN KRIVOBOK
Embargo russe: perte de 20 centimes le kilo pour les éleveurs français de porc
Les relations entre la Russie et les pays occidentaux se sont dégradées suite au déclenchement du conflit armé dans l’est de l’Ukraine.
En 2014 et au début de 2015, les pays de l’UE ainsi que les Etats-Unis ont adopté plusieurs trains de sanctions contre des secteurs entiers de l’économie russe sur fond de crise en Ukraine.
La Russie a riposté, en frappant d’embargo en août dernier plusieurs denrées alimentaires, notamment les produits laitiers, la viande, et les fruits et légumes en provenance de l’UE, du Canada, d’Australie et de Norvège.
Le gouvernement russe a déclaré à maintes reprises qu’il souhaitait un règlement rapide du conflit dans le Donbass et qu’il considérait les sanctions occidentales comme illégitimes et infondées.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150729/1017281903.html#ixzz3heVPCyxO
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