Algérie : 1 mort dans l’attentat de 2 bus de la sté US BRC

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1. Brown & Root – Condor est une société par actions de droit algérien.
   Elle a été créée en 1994 après l’ouverture du capital social de « Condor Engineering Spa  » à « Brown & Root Ltd » qui est une entreprise américaine. Ses métiers sont l

2. Précisions de Reuters :
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   Une bombe a explosé à coté d’un autobus dans la localité de Bouchaoui, 10 km à l’ouest d’Alger, faisant cinq blessés, dont un atteint grièvement, rapportent des habitants. La police a bouclé les lieux de l’attentat.
   Les journalistes qui se sont par la suite approchés de ce quartier résidentiel et touristique, qui abrite un hôtel de luxe et les résidences de certains responsables gouvernementaux, ont entendu deux explosions.
   Des habitants ont dit qu’il semblait s’agir d’explosions contrôlées déclenchées par le service de déminage, mais ceci n’a pas été confirmé dans l’immédiat et il n’a pas été possible de contacter la police pour l’interroger sur cet incident.

3. Dernièrement, deux quotidiens algériens, El-khabar et El-watan en l

4. Deux bus qui transportaient des employés d’une société américaine en Algérie ont été la cible d’un attentat dimanche soir à Bouchaoui, une localité située à une quinzaine de kilomètres à l’ouest d’Alger, a appris l’Associated Press auprès de témoins.
   Ces témoins ont rapporté que le chauffeur du premier bus, un Algérien, avait été tué, tandis qu’un autre Algérien, assis à sa droite, avait été blessé. Aucun ressortissant américain n’aurait été blessé, selon les premières informations.
   Les deux bus étaient affrétés par la société BRC (Brown, Root and Condor), une filiale de la compagnie américaine Halliburton, autrefois dirigée par le vice-président américain Dick Cheney. En Algérie, la ‘joint venture’ américaine BRC travaille surtout pour le compte de la compagnie pétrolière publique algérienne Sonatrach et pour le ministère algérien de la Défense. Les représentants de BRC n’étaient pas joignables dans l’immédiat pour apporter des précisions.
   Les deux bus venaient de quitter le siège de la société BRC à Bouchaoui et raccompagnaient les employés américains vers leur lieu de résidence, l’hôtel Sheraton, situé à quelques kilomètres de là, en direction de la capitale.
   Selon les témoins joints par l’AP, une bombe a d’abord été lancée contre le premier bus, un véhicule de sécurité qui ouvrait la voie au deuxième bus transportant neuf employés américains. Le chauffeur algérien du premier bus est mort sur le coup, tandis que la personne assise à sa droite, également un Algérien, a été blessée, selon ces sources.
   Le deuxième bus a ensuite essuyé des tirs de la part des assaillants, mais a immédiatement fait demi-tour pour rentrer dans le siège de l’entreprise, sous la protection des agents de sécurité, ont précisé les témoins, en soulignant qu’aucun employé américain n’avait été touché.
   On ignorait dans l’immédiat si les assaillants ont réussi à prendre la fuite ou s’ils ont été interpellés.
   Toutes les voies menant à Bouchaoui ont été fermées à la circulation et le lieu de l’attaque était donc inaccessible à la presse.
   Cette attaque n’a pas été revendiquée mais, selon des spécialistes des questions de sécurité, elle porte la marque des islamistes du GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat). AP

5. Merci bcp pour ces infos , je piste mais les depeches arrivent lentement.

6. Seule AP, pour le moment fait le lien avec Sonatrach et le monde pétrolier.
   A noter que T Breton est arrivé en Algérie ce soir, signature Sonatrach / GDF en vue pour le projet MEDGAZ.

7. ALGER – L’attentat contre un bus à Bouchaoui, près d’Alger, a fait un mort, un Algérien, et neuf blessés: un Américain, 4 Anglais, deux Libanais, un Canadien et un Algérien, a annoncé dimanche le ministère algérien de l’Intérieur.
   (©AFP / 10 décembre 2006 20h20)

8. AFP via La Croix et Yahoo.
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   Un attentat anti-américain en Algérie
   Deux bus qui transportaient des employés travaillant pour une société américaine en Algérie ont été la cible d’un attentat dimanche soir à l’ouest d’Alger
   Un attentat contre deux bus transportant des employés d’une société américaine a fait dimanche 10 décembre un mort, le chauffeur d’un bus, et au moins quatre blessés dont trois étrangers à Bouchaoui, à l’ouest d’Alger
   Parmi les blessés figurent un Algérien, un Américain, un Canadien et un Libanais. Ils se seraient blessés en tentant d’échapper d’un des bus. Des témoins ont affirmé à l’AFP avoir entendu une intense fusillade à la suite de laquelle tout le quartier a été bouclé par les forces de sécurité.
   La fusillade aurait été précédée par l’explosion d’une bombe qui a tué le chauffeur de l’un des deux bus, selon des témoins. Ces deux bus reconduisaient des employés de la société américaine BRC (Brown Root et Condor), spécialisée dans la construction, vers l’hôtel Sheraton, leur lieu de résidence sur la côte ouest d’Alger.
   Pas de revendication de l’attentat
   La compagnie publique d’hybracarbures Sonatrach a des intérêts dans BRC, aux côtés de la compagnie américaine Halliburton.
   L’attentat n’a pas été revendiqué dans l’immédiat. Selon les témoins, la gendarmerie s’est déployée dans un bois proche, la forêt de Bouchaoui, où le ou les auteurs de l’attentat se seraient réfugiés.
   C’est le premier attentat depuis l’explosion le 29 octobre de deux voitures piégées devant les deux commissariats de police de Dergana et de Réghaia à l’est d’Alger. Ces deux attentats avaient fait trois morts et 24 blessés, selon le bilan officiel.
   Selon les autorités algériennes, il n’y aurait plus qu’un seul groupe armé en activité en Algérie, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), qui se serait affilié à l’automne au groupe al-Qaïda, selon le numéro 2 de cette organisation Aiman el-Zawahiri. Il compterait moins de trois cents hommes armés, concentrés dans les régions forestières de Kabylie, à l’est de la capitale.

9. The Algerian military has launched an offensive against Al Qaida-aligned insurgents.
   The Algerian military has sent ground and air units in the mountains in the southern region in an effort to dislodge forces of the Salafist Brigade for Combat and Call. Security sources said military units have been operating in the regions of Batna and Biskra, about 400 kilometers southeast of Algiers.
   The sources said the offensive was launched in wake of a series of Salafist strikes. In the latest attack on Nov. 21, a Salafist unit fired an anti-aircraft missile that downed a military helicopter in Batna.
   On Nov. 30, the Algerian daily Al Khaber reported that 10 Salafist operatives have been killed so far in the military operation. The newspaper said the military clashed with Salafist fighters twice over the last week.
   Algeria’s largest insurgency group has acquired surface-to-air weapons.
   Algerian security sources said the Salafist Brigade for Combat and Call has acquired SA-7 surface-to-air missile systems. The sources said the Salafists have fired the Russian-origin shoulder-fired missiles and struck an Algerian Air Force helicopter.
   « This is the first time that the Salafists have used such weapons, » a source said. « It seems to mark an increase in capability. »
   The sources said the Salafist attack took place on Nov. 22 in the Buskara province about 550 kilometers south of Algiers. They said the helicopter managed to land safely and the crew was not injured.

10. Treize terroristes du GSPC arrêtés en Algérie
    Un réseau de treize terroristes du GSPC qui semait la terreur dans le nord de l

11. Outre le chauffeur tué de nationalité algérienne, l’attentat a fait neuf blessés: un Américain, 4 Anglais, deux Libanais, un Canadien et un Algérien, a précisé le communiqué officiel.
    Un des deux blessés libanais est « grièvement » atteint, et huit blessés devaient quitter l’hôpital dans la soirée de dimanche après avoir reçu les soins nécessaires.
    Selon le ministère, un bus a été atteint par une bombe artisanale qui a explosé à son passage, dimanche à 17h30 (16H30 GMT), dans la commune de Staouéli, qui abrite la forêt de Bouchaoui, près du Club des Pins.
    « Une enquête a été ouverte pour déterminer la nature et l’origine de cet engin explosif », selon le communiqué, qui ne fait état d’aucune revendication.
    Le bus reconduisait à l’hôtel Sheraton, sur la côte ouest d’Alger, les employés de la société américaine BRC (Brown Root and Condor), une filiale de la compagnie publique algérienne Sonatrach et de l’Américaine Halliburton.
    Plusieurs passagers du bus se seraient blessés en tentant d’échapper du véhicule. L’un d’eux se serait violemment heurté à un arbre en se jetant par la fenêtre du bus, selon des sources concordantes, non confirmées officiellement.
    Des témoins ont affirmé à l’AFP avoir entendu une intense fusillade à la suite de l’explosion. Les forces de sécurité ont bouclé tout le quartier.
    L’attentat n’a pas été revendiqué dans l’immédiat. Selon les témoins, plus de deux cents membres des forces de sécurité se sont déployés dans un bois proche, la forêt de Bouchaoui, où le ou les auteurs de l’attentat se seraient réfugiés.
    C’est le premier attentat depuis l’explosion le 29 octobre de deux voitures piégées devant les commissariats de police de Dergana et de Réghaia à l’est d’Alger. Ces deux attentats avaient fait trois morts et 24 blessés, selon le bilan officiel.
    Il a eu lieu dans une zone très sécurisée, qui abrite notamment le Palais des Nations, une salle de conférences réservée aux grandes manifestations nationales et internationales.
    La zone abrite aussi des dizaines de résidences touristiques d’Etat, dont la plupart ont été affectées à des ministres et des hauts responsable pour les mettre à l’abri d’éventuels attentats.
    Selon les autorités algériennes, il n’y aurait plus qu’un seul groupe armé en activité en Algérie, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), qui se serait affilié à l’automne au groupe Al-Qaïda, selon le numéro 2 de cette organisation Aïman el-Zawahiri.
    M. Zawahiri avait menacé de charger le GSPC d’organiser des attentats en France.
    Peu auparavant, le GSPC avait menacé de s’attaquer à des intérêts étrangers en Algérie.
    Le GSPC compterait moins de trois cents hommes armés dans le pays, qui sont concentrés dans les régions forestières de Kabylie, à l’est de la capitale, selon les sources officielles.
    Publié le: 10/12/2006 à 20:14:30 GMT Source : AFP
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    Mon grand-père est né à Staoueli (Marchet )

12. Après l’attentat contre BRC, les Américains appelés à la vigilance en Algérie
    AP | 12.12.2006 | 16:01
    Après l’attentat qui a visé, dimanche, un bus transportant des employés de la société américaine Brown, Root and Condor (BRC), filiale de la firme américaine Halliburton, l’ambassade des Etats-Unis à Alger a rendu public un avertissement aux voyageurs et prie les citoyens américains résidant à Alger de revoir leur plan de vigilance.
    L’attentat à Bouchaoui, près de la résidence d’Etat du Club des Pins a fait un mort algérien et neuf blessés (un Américain, quatre Anglais, deux Libanais, un Canadien et un Algérien.
    L’ambassade note également qu’elle limitera ses prestations aux « seules activités officielles jusqu’à la prochaine évaluation de la situation ». Le niveau d’alerte a donc été élevé pour les Américains établis en Algérie, et la sécurité renforcée autour et à l’intérieur de l’édifice de l’ambassade.
    Par ailleurs, selon le quotidien « l’Indépendant », l’ambassade des Etats-Unis a sollicité, lundi, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN, direction de la police algérienne) pour escorter les cadres américains exerçant en Algérie, aussi bien les résidents que les missionnaires de courte durée.
    Dans un communiqué, l’ambassade précise qu’en dépit de cet attentat la représentation diplomatique n’a pas et ne sera pas fermée.
    Quant à l’enquête, le quotidien « El Watan » révèle que les assaillants étaient vraisemblablement quatre et connaissaient l’heure du passage du bus pris pour cible.
    Dans leur fuite vers la forêt de Bouchaoui, ils ont fait exploser à distance une première bombe artisanale pour protéger leur retraite, tandis qu’une seconde n’a pas explosé. Elle a été retrouvée sur les lieux par les services de sécurité, ajoute le journal, qui souligne que cette forêt est limitrophe de la résidence d’Etat du Club des Pins, la plus surveillée du pays.
    De plus, l’attentat a été perpétré moins de 24 heures après une rencontre, au Palais des Nations du Club des Pins, entre le président Abdelaziz Bouteflika, de nombreux membres du gouvernement et l’ensemble des walis (préfets) du pays. Pour l’occasion, un impressionnant dispositif de sécurité avait été déployé dans la région. AP

13. http://www.algeria-watch.org/fr/article/eco/corruption/brc_holding.htm

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