En ce mardi, la monnaie unique européenne continuait d’être pénalisée par la prudence des investisseurs du marché des changes, ces derniers n’ayant pas été particulièrement rassurés par les indicateurs macroéconomiques qui ont été publiés aujourd’hui.
En effet, la consommation américaine, qui représente les deux tiers de la croissance en temps normal, est toujours en mauvais état puisque si on exclut les ventes d’essence et d’automobiles, l’indice de consommation s’affiche en baisse pour le quatrième mois consécutif, de 0,2%. Une telle nouvelle, qui fait d’ailleurs echo aux chiffres de l’emploi de la semaine dernière, a eu évidemment pour effet de renforcer l’aversion pour le risque des investisseurs, pénalisant au passage l’euro.
Cependant, les déboires de l’euro ont continué dans la journée avec la publication de l’indice de confiance allemand ZEW qui a diminué de 5,3 points en juillet, reflétant l’incertitude dans laquelle évoluent les milieux financiers.
L’inquiétude des investisseurs est telle que les bonnes nouvelles de la journée sont passées presque inaperçues, notamment les bons résultats trimestriels de Goldman Sachs et aussi le rebond de la production industrielle dans la zone euro de 0,5% au mois de mai par rapport à avril. Ces deux bonnes nouvelles ne sont pas parvenues à faire changer la tendance qui semble être, décidément, au retour aux valeurs fondamentales, c’est à dire au yen et au dollar.
Christopher Dembik, forex.fr
« La reprise, c’est pour quand ? Jamais ! » (Robert Reich, jeudi 9 juillet 2009)
« When Will The Recovery Begin ? Never. » Robert Reich est clair, une reprise, cela voudrait dire que tout redevient comme avant. Il n’en est aucunement question, le modèle est mort.
Le modèle, quel était-il ? Des personnes spécialisées dans la production : Chine, Japon, Allemagne, d’autres personnes spécialisées dans la consommation : Grande-Bretagne, Espagne, USA et à un moindre degré, France.
Or, consommer sans produire, c’est dur. Les emplois productifs étaient stables, demandent un long apprentissage, et ont un réel intérêt collectif. Les autres sont des emplois « Mac-Do », sans intérêt et vite appris.
Le consommateur s’est effondré, victime de la mondialisation qu’on nous vendait. Il s’est adapté à la maxime : on ne peut consommer plus que ce que l’on gagne. Mais ce n’est pas ce que nos hommes politiques voulaient dire. Eux, ils voulaient qu’il consomme autant, en gagnant moins, en étant plus flexible, plus précaire, et en payant plus pour tout, son électricité par exemple.
C’était, bien entendu, parfaitement idiot, mais au niveau de la bredinerie totale, on peut citer la banque Wells Fargo, qui se fait un procès. Comme ça, elle est sûre de gagner, bien entendu, avec les avocats qui se feront un plaisir de facturer un max.
« Reich explique rapidement les conditions actuelles, qui font que le consommateur ne reçoit pas beaucoup d
Good point of view! I´m agree with Robert Reich and i think « le modèle est mort » of course, and although right now are very difficult times we will get something better for us and for our children.
Autotradez le marche du FOREX comme jamais ! LaissezZuluTrade rediriger les trades des experts boursiers vers votre compte FX GRATUITEMENT
vous pouvez ouvrir un compte DEMO gratuit
cliquez sur mon pseudo « trader » pour avoir plus de détail sur le concept