(4 commentaires)

  1. C’est bien connu, les Allemands n’aiment pas le nucléaire, ils préfèrent couvrir leur territoire de moulins à vent. Alors, ils n’ont aucune raison de s’accrocher à Areva.

  2. Siemens veut rester actionnaire d’Areva NP (centrales nucléaires)
    BERLIN, 23 juil 2007 (AFP)
    Le groupe allemand Siemens a indiqué lundi qu’il voulait conserver sa participation de 34% dans le fabricant de centrales nucléaires franco-allemand Areva NP (ex-Framatome), participation qui pourrait faire l’objet de frictions avec Paris.
    « Nous voulons rester actionnaires et nous en discutons actuellement avec » la maison-mère Areva, a dit ce porte-parole à l’AFP.
    Areva de son côté à fait savoir à Paris qu’une « évolution du capital d’Areva NP n’est pas aujourd’hui à l’ordre du jour. »

  3. Siemens, navire-amiral de l’industrie et de la technologie allemande, a souvent été au coeur de frictions entre Berlin et Paris.
    Le groupe allemand avait notamment violemment critiqué en 2004 le plan de sauvetage public du groupe français Alstom, qui avait mis court à son projet de racheter certaines activités de l’entreprise au bord de la faillite.
    Le chancelier allemand de l’époque Gerhard Schröder avait qualifié d' »extrêmement nationalistes » les positions de Nicolas Sarkozy, alors ministre des Finances, et soupçonné en Allemagne d’avoir tout fait pour barrer la route à Siemens.

  4. C’est connu en France, quand cela marche, on fait profiter les copains et quand cela ne marche pas on voudrait revendre pour 1 euro aux coréens…

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