(4 commentaires)

  1. Réaction au discours de Nicolas Sarkozy sur la politique étrangère de la France.
    Editorial très critique du New York Times du 30 août « No time for threats » (l

  2. Le premier discours de Nicolas Sarkozy lors de la conférence annuelle des ambassadeurs français lundi n’a pas fait que provoqué la colère de Téhéran.
    Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré mardi que le président français «a fait preuve d’un peu d’émotivité» en utilisant le mot «brutalité» pour décrire la politique russe.
    «Nous pensons que, dans ce cas, le mot brutalité était un reflet d’une langue française très belle et chargée d’émotion. En réalité, nous espérons de la compréhension de la part de nos partenaires européens. Ce n’est pas de la brutalité, c’est du pragmatisme», a-t-il ajouté, évoquant la politique énergétique de la Russie.
    La veille, Nicolas Sarkozy avait déclaré : «la Russie impose son retour sur la scène mondiale en jouant avec une certaine brutalité de ses atouts, notamment pétroliers et gaziers, alors que le monde, l’Europe en particulier, espèrent d’elle une contribution importante et positive au règlement des problèmes de notre temps que son statut retrouvé justifie».
    Jacques Demarthon AFP ¦ Nicolas Sarkozy, lors de la Conférence des ambassadeurs, le 27 août 2007 à l’Elysée
    20Minutes.fr, éditions du 28/08/2007 – 22h04

  3. Le premier discours de Nicolas Sarkozy lors de la conférence annuelle des ambassadeurs français lundi n’a pas fait que provoqué la colère de Téhéran.
    Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré mardi que le président français «a fait preuve d’un peu d’émotivité» en utilisant le mot «brutalité» pour décrire la politique russe.
    «Nous pensons que, dans ce cas, le mot brutalité était un reflet d’une langue française très belle et chargée d’émotion. En réalité, nous espérons de la compréhension de la part de nos partenaires européens. Ce n’est pas de la brutalité, c’est du pragmatisme», a-t-il ajouté, évoquant la politique énergétique de la Russie.
    La veille, Nicolas Sarkozy avait déclaré : «la Russie impose son retour sur la scène mondiale en jouant avec une certaine brutalité de ses atouts, notamment pétroliers et gaziers, alors que le monde, l’Europe en particulier, espèrent d’elle une contribution importante et positive au règlement des problèmes de notre temps que son statut retrouvé justifie».
    Jacques Demarthon AFP ¦ Nicolas Sarkozy, lors de la Conférence des ambassadeurs, le 27 août 2007 à l’Elysée
    20Minutes.fr, éditions du 28/08/2007 – 22h04

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