Après l’or jaune et l’or noir, voici venu l’or bleu …
En plein dans cette « mouvance« , l’Algérie a lancé un appel d’offres pour l’étude et la valorisation des eaux du Sahara septentrional, a annoncé dimanche l’Office national de l’irrigation et du drainage (ONID).
Selon Abdelmalek Sellal, ministre algérien des Ressources en eau , la part de la région arabe en ressources en eau, au plan mondial, est estimée à 1% seulement. Selon ses chiffres, 66% du total des ressources en eau de surface proviennent de sources extérieures du monde arabe.
L’appel d’offres vise l’élaboration d’un programme de reconnaissance hydrogéologique et les études des champs captants « Djelfa I » (275 km au sud d’Alger) et « grand Erg occidental », et le transfert d’eau à partir de Oued Djedi près de Biskra (425 km au sud-est d’Alger), selon l’ONID.
La date limite de dépôt des offres techniques est fixée au 31 août et l’ouverture des offres aura lieu le même jour.
Le volume des eaux contenu dans les nappes phréatiques du Sahara est estimé à 60.000 mds m3, dont 40.000 mds m3 dans le sous-sol algérien, selon le ministre algérien des Ressources en eaux, Abdelmalek Sellal.
L’Algérie, qui exploite actuellement 1,7 milliard de m3 d’eau puisée dans les nappes souterraines du Sahara, a lancé plusieurs projets de transfert de ces eaux souterraines du Nord Sahara vers des départements confrontés à des pénuries d’eau.
Les ressources en eau en Algérie « atteindront leurs limites à l’horizon 2020-2025 », avait déclaré en décembre 2006 le directeur de l’Agence algérienne pour les changements climatiques (ANCC), Mustapha Kara.
« Si des mesures ne sont pas prises dans l’immédiat, l’Algérie verra (…) ses sources en eaux se tarir, notamment dans les Hauts-Plateaux et les steppes », expliquait-t-il en marge de la conférence internationale sur la lutte contre la désertification.
« La crise du climat va aggraver la dégradation des ressources naturelles dans les Hauts-Plateaux et toutes les régions steppiques » qui constituent « de véritables potentiels agricoles » et qui doivent, selon lui, « assurer la sécurité alimentaire du pays, ainsi que la protection de la frange côtière ».
M. Kara a expliqué qu’en raison de sa situation dans une zone de transition entre les régimes tempérés et subtropicaux, l’Algérie « présente une grande sensibilité au climat, notamment dans les Hauts-Plateaux et la steppe qui couvrent environ 60% des terres viables du Nord ».
Selon Aboubacar Issa de l
la pluviométrie annuelle sur terre si vous pouvez la calcule ou mesurer est la même depuis que dieu a créer et stabiliser cette terre pour ton information et comme l’age de l’homme est infiniment petit par rapport a celle de la terre et comme je suis un petit expert si je veux chercher de l’eau .je fais recours a la méthode traditionnelle malheureusement les méthode ou prospections géophysique comme ……sont nuls.
il ne faut jamais s’emporter il faut aller en parallèle et en douceur tchao
C’est sûr que l’âge de l’homme est infiniment petit par rapport à celui de la terre. Cependant l’homme est l’animal le plus nuisible de la planète, il est responsable de toutes les dégration que subit notre planète, notamment la dégradation climatique qui fait reculer la pluviométrie.
En Algérie les pouvoir publique et locaux sont incapables de protéger les nappes phréatiques existantes, les fleuves, les rivières, le littoral marin et j’en passe, sont transformés en décharges ordurières.
L’ANP est responsable à 86 % des feux de forêts et de la désertification du pays.
La nappe fossile albienne du grand sud est en partie dégradée par les forages pétroliers mal implantés pour faute de compétences, à cela s’ajoute le gaz de schiste auquel Sonatrach et les dirigeants n’ y comprennent rien, faute de l’arabétisation et de manque de neurones.
Avant toute offre d’appel international concernant les ressources hydriques, il faut d’abord commencer par l’assainissement total du pays et intensifier la lutte contre la déforestation.
L’Algérie est l’un des rare pays au monde à posséder des ressources diverses (don de Dieu) et qui importe la totalité des ressources (notamment l’eau, les carburants, les produits alimentaires, industriels, l’informatiques et surtout des armes pour tirer sur des civils algériens ou kabyles).
L’eau ne manque pas en Algérie, seulement, les dirigeants sont trop petits et trop nuls pour diriger et gérer un grand pays riche (Algérie), surtout par sa jeune population croissante et ses jeunes diplômés et ouvriers qu’on a fait fuir vers l’étranger.
En 1962 on a chassé 1 millions de pieds noirs ultra diplômés, des milliers d’algériens qualifiés, pour les remplacer par des égyptiens cordonniers, chômeurs ou bouchers prétendus professeurs d’arabétisation.
On paie encore les conséquences aujourd’hui.
merci, le message mérite d’être clair !
Arabétisation : grand sujet actuel au maroc
http://www.amazighworld.org/history/index_show.php?id=642148
pour ma part, à Rabat, j’ai discuté avec des diplomes chomeurs …. qui avaient du mal à rédiger un mail en français …. car leur cursus universitaire en arabe. Du coup, pas d’équivalence avec les pays européens.
Et ignorance des textes officiels publiés en français …
le gouvernement par l’ignorance en quelque sorte.
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