L

Aboutlehmanbros L’action Lehman Brothers a chuté jeudi de plus de 44% à 4,05 dollars, dans les échanges électroniques d’avant séance, une demi-heure avant l’ouverture de Wall Street.

Ce qui promet une gigantesque dégringolade.

La banque d’affaires américaine a perdu 75% de sa valeur depuis la fin de la semaine dernière. Le titre avait clôturé vendredi à 16,20 dollars.

Certes, si Lehman Brothers a présenté mercredi un plan destiné à ramener la confiance des marchés, la banque n’a pas annoncé comme espéré l’adossement à un partenaire stratégique solide. Cette nouvelle n

(14 commentaires)

  1. Axa affiche ce jeudi la plus forte baisse du Cac 40, souffrant comme l’ensemble des valeurs financières des inquiétudes autour de Lehman Brothers et de Washington Mutual, mais également de la dégradation d’un analyste.
    Le titre de l’assureur français dévisse de 3,2% à 22 euros à la Bourse de Paris.

  2. Bank of America serait en discussions pour racheter Lehman
    Reuters 11.09.08 | 22h21
    NEW YORK (Reuters) – Bank of America est en discussions en vue de racheter la banque d’investissement en grandes difficultés Lehman Brothers, rapporte le Wall Street Journal citant des sources non identifiées.
    Le quotidien ajoute que toute opération concernant Lehman est loin d’être bouclée.
    Bank of America s’est refusé à tout commentaire sur l’article.

  3. Lehman chercherait des acheteurs pour la totalité de son capital
    Reuters 11.09.08 | 23h20
    NEW YORK (Reuters) – Lehman Brothers est en discussions avec plusieurs acheteurs potentiels désireux de reprendre la totalité du capital de la banque en difficulté, dit une source proche du dossier.
    Plusieurs banques ont examiné les comptes rendus publics ce jeudi, a ajouté cette source, tout en se refusant à identifier ces acheteurs potentiels.
    Le Wall Street Journal rapporte que Bank of America est en négociations pour racheter Lehman Brothers, tout en ajoutant que toute opération était loin d’être bouclée.
    D’autres sources ont déclaré que Goldman Sachs n’était pas en train de racheter Lehman, contrairement à des spéculations de marché.
    Le titre Lehman Brothers a encore perdu près de 42% à Wall Street, les intervenants du marché n’ayant guère été convaincus par le plan de renflouement présenté mercredi par le directeur général de Lehman Brothers Dick Fuld.

  4. Le gouvernement américain organise la vente de Lehman Brothers, le titre recule encore
    L’action de la banque d’affaires a chuté de plus de 13% ce vendredi. Selon les médias américains, le Trésor et la Fed ont pris en main le dossier Lehman Brothers pour aboutir d’ici la fin du week-end à une reprise de la banque. Bank of America serait sur les rangs.
    Bientôt la fin de l’indépendance pour Lehman Brothers? Après le sauvetage de Bear Stearns en mars, puis celui en fin de semaine dernière de Fannie Mae et de Freddie Mac, le Trésor et la Fed – la banque centrale américaine – semblent avoir pris en main le dossier Lehman Brothers afin d’organiser sa vente. Selon plusieurs sources de presse outre-Atlantique, des négociations avec des investisseurs privés pourraient aboutir d’ici à la fin du week end.
    Le temps presse: la plus petite des banques d’affaires de Wall Street a encore perdu 13,51% à 3,65 dollars ce vendredi. Elle avait déjà vu son cours dévisser encore de plus de 40%, faute d’avoir su convaincre le marché de sa capacité à survivre seule.
    Lehman Brothers ne vaut plus que 3 milliards de dollars en Bourse. Son action a perdu 74% depuis le début de la semaine, en dépit de la présentation mercredi d’un plan de restructuration prévoyant le transfert d’une grosse partie de ses actifs dans l’immobilier à une société indépendante et la vente d’une participation majoritaire de sa division de gestion d’actifs.
    Les médias (Washington Post et Wall Street Journal en tête) citent le plus souvent parmi les repreneurs la première banque américaine, Bank of America, mais celle-ci doit encore mener à bien la délicate intégration du spécialiste du crédit hypothécaire Countrywide. Interrogée, Bank of America n’a pas souhaité faire plus de commentaires. Pour sa part, Goldman Sachs a démenti jeudi les rumeurs de marché faisant état de son intérêt pour une prise de participation dans Lehman.
    Parmi les nombreux établissements étrangers évoqués, seule la piste du britannique Barclays semble avoir conservé une certaine crédibilité. Des fonds d’investissement pourraient également être intéressés, mais une telle solution ferait tiquer la Réserve fédérale, selon le New York Times.
    Au coeur du débat, figurent les garanties que les pouvoirs publics pourraient apporter à un éventuel repreneur, face aux éventuelles mauvaises surprises que pourrait receler le bilan de Lehman Brothers. Lorsque le Trésor et la Réserve fédérale avaient orchestré en mars la reprise d’une autre banque d’affaires en difficulté, Bear Stearns, par JPMorgan, la banque centrale avait accepté de financer l’opération à hauteur de 30 milliards de dollars. Les candidats à la reprise de Lehman Brothers aimeraient bénéficier d’un tel cadeau des pouvoirs publics. Toutefois d’après le Wall Street Journal, qui cite des personnes proches du dossier, les pouvoirs publics ne sont toutefois pas disposés cette fois-ci à faire un geste similaire. D’autant qu’il y a moins d’une semaine, le Trésor avait dû s’engager à verser jusqu’à 200 milliards de dollars pour garantir la poursuite du fonctionnement, sous tutelle de l’Etat, des organismes de refinancement hypothécaires Fannie Mae et Freddie Mac.
    Le titre a par ailleurs été dégradé jeudi par de nombreux établissements. Entre autres, Goldman Sachs a abaissé son objectif sur la valeur de 22 à 7 dollars, avec une recommandation passant d’acheter à neutre. Citigroup a également abaissé sa recommandation, d’achat à conserver. Wachovia a pour sa part revu à la hausse son estimation de perte pour l’ensemble de l’année, tablant sur 10,59 dollars contre 7,83 dollars précédemment.
    http://www.latribune.fr/info/Le-gouvernement-americain-organise-la-vente-de-Lehman-Brothers–le-titre-recule-encore-~-IDC0BF1A6797EE7113C12574C1005588AB-$Channel=Entreprises%20&%20secteurs-$SubChannel=Banque

  5. Sauvetage de Lehman: les pouvoirs publics convoquent les banquiers new yorkais
    Les pouvoirs publics américains ont tâté le terrain vendredi soir pour déterminer si les grandes banques de New York étaient prêtes à mener un sauvetage collectif de leur consoeur Lehman Brothers, sur le modèle de celui qui avait permis d’éviter l’implosion du fonds LTCM.
    La banque de réserve fédérale de New York, qui joue traditionnellement le rôle d’intermédiaire entre la banque centrale américaine et les marchés, a réuni à son siège les principaux banquiers de la place pour discuter de l’avenir de la banque d’affaires en crise, a-t-on appris de source officielle.
    « De hauts représentants de grandes institutions financières se rencontrent ce soir à la banque de réserve fédérale de New York pour discuter des conditions récentes sur les marchés », a indiqué l’organisme de surveillance des marchés boursiers, la Securities and Exchange Commission (SEC).
    Le secrétaire au Trésor Henry Paulson, le président de la SEC Christopher Cox et le président de la Fed de New York Timothy Geithner participaient à la réunion, a ajouté la SEC dans son bref communiqué.
    Outre ses fonctions de « gendarme de la Bourse », la SEC joue le rôle de régulateur pour les banques d’affaires, comme Lehman Brothers, qui fait face à une crise aiguë de défiance des marchés depuis plusieurs jours.
    La SEC n’a pas rendu publique la liste des participants, côté secteur privé. Mais selon la presse américaine, le gratin de la banque newyorkaise était présent: John Mack (Morgan Stanley), John Thain (Merrill Lynch), Jamie Dimon (JPMorgan Chase), Lloyd Blankfein (Goldman Sachs) et Vikram Pandit (Citigroup). La RBoS et Bank of New York Mellon étaient aussi représentées.
    Le parallèle avec la situation d’il y a dix ans, presque jour pour jour, est frappant. Le 23 septembre 1998, la Fed de New York avait « séquestré » les principaux dirigeants de la place jusqu’à ce qu’ils acceptent de renflouer à hauteur de 3,5 milliards de dollars le fonds LTCM dont la défaillance annoncée menaçait de provoquer une cascade de faillites dans le secteur financier.
    Aucun argent public n’avait été investi dans ce sauvetage.
    Depuis le début de la crise du « subprime », l’administration américaine a déjà été obligée de sortir son carnet de chèques par deux fois pour éviter des faillites aux conséquences incalculables: en mars, la banque centrale a financé à hauteur de 29 milliards de dollars le rachat de la banque d’affaires Bears Stearns par JPMorgan; le week-end dernier, le Trésor a dû afficher son engagement à apporter jusqu’à 200 milliards de dollars aux organismes de refinancement hypothécaires Freddie Mac et Fannie Mae.
    Selon des informations concordantes, M. Paulson est cette fois décidé à ne rien payer, estimant que les difficultés de Lehman Brothers étaient connues depuis longtemps, contrairement à la situation qui régnait en mars, lorsque Bear Stearns avait été acculé à une quasi-faillite en quelques jours.
    De surcroît, Lehman Brothers peut maintenant se refinancer auprès de la banque centrale dans les mêmes conditions que les banques faisant appel à l’épargne publique, ce qui n’était pas le cas en mars.
    Selon deux personnes informées du contenu de la réunion, que cite le New York Times, M. Geithner, le président de la Fed de New York, a fait valoir qu' »une solution de place était nécessaire, quelles qu’en soient les conséquences et qu’il ne s’agissait pas là du sort d’une banque précise ».
    Si la profession n’arrivait pas à régler le cas Lehman, qui sait quelle pourrait être la prochaine banque à chuter, a souligné M. Geithner, en allusion à l’intensification des attaques boursières en fin de semaine contre Washington Mutual et Merrill Lynch.
    http://afp.google.com/article/ALeqM5gUPRhbxP07JMduHqGtND3ojYsiJw

  6. Banque Lehman Brothers: Barclays a quitté la table des négociations
    La banque britannique Barclays, qui apparaissait comme la mieux placée pour reprendre Lehman Brothers, a quitté la table des négociations, a affirmé le quotidien New York Times. L’identité du repreneur n’apparaissait toujours pas clairement au troisième jour de négociations.
    La banque britannique a estimé qu’une reprise de Lehman serait impossible sans une aide des pouvoirs publics comparable à celle qui avait été accordée en mars à JPMorgan Chase lors de son rachat d’une autre banque d’affaires en difficulté, Bear Stearns, ajoute le journal, sans citer ses sources.
    La presse américaine avait fait de Barclays, qui avait manifesté son intérêt pour Lehman à plusieurs reprises, le repreneur le plus plausible, devant Bank of America et un autre britannique, HSBC.
    Faute d’acheteur, Lehman Brothers pourrait devoir être mise en liquidation judiciaire dans les heures qui viennent, ce qui représenterait l’une des plus grosses faillites de l’histoire récente des Etats-Unis Les pouvoirs publics veulent que la situation soit clarifiée, dans un sens ou dans un autre, avant l’ouverture des marchés asiatiques.
    Une liquidation brutale des actifs de Lehman Brothers aurait des conséquences incalculables sur le reste de la finance mondiale, où les activités des banques sont étroitement imbriquées.
    Une des options envisagées serait un engagement des grandes banques newyorkaises de maintenir un courant d’affaires régulier avec Lehman pour lui donner assez de temps pour liquider, sous supervision judiciaire, ses actifs de manière ordonnée, ajoute le New York Times.
    http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20080914200133810172194810700_brf045.xml&associate=phf9789

  7. Je suis client Lehman, j’ai quelques liquidités aux US. Je suis un peu perdu aujourd’hui. Quels sont les moyens et actions ? Les Conseils sont les bien-venus.

Les commentaires sont fermés.