Décidément, le secteur immobilier US est soumis à toutes les attaques ou presque ces derniers temps, histoire peut-être de tirer sur l’ambulance ? ou de tenter de se disculper en se désolidarisant du « coupable ».
Alors que Narayana Kocherlakota, un des dirigeants de la banque centrale américaine (Fed), vient de laisser entendre qu’il serait préférable que les Etats-Unis soutiennent l’épargne plutôt que d’agir en faveur de l’emprunt des ménages, le Fonds monétaire international (FMI) a désigné mercredi le pays de l’oncle Sam comme le modèle de marché immobilier à ne surtout pas imiter. Tout en appelant le gouvernement américain à assurer la réforme du secteur.
Dans un chapitre de son « Rapport sur la stabilité financière dans le monde » semestriel, le FMI considère le secteur immobilier américain comme étant un de ceux parmi les plus subventionnés au monde … tout en l’affublant des pires défauts : opacité, mauvaise régulation, instabilité et difficulté d’accès pour les ménages défavorisés.
Selon les calculs élaborés à partir d’un indice établi par les économistes du Fonds, les Etats-Unis figureraient ainsi parmi les pays les plus interventionnistes sur leur marché immobilier. Seuls le Brésil et quatre pays asiatiques (Singapour, Thaïlande, Inde et Indonésie) arrivent à lui damer le pion sur ce point.
« Le système de financement de l’immobilier des Etats-Unis est original à nombreux égards. Une refondation d’aspects importants de ce système est nécessaire », a par ailleurs souligné le Fonds.
Lequel exhorte Washington à imiter les « meilleures pratiques » en place ailleurs, souhaitant que le gouvernement américain mette l’accent sur une régulation stricte des prêteurs immobiliers et une intervention publique plus transparente et plus en faveur des ménages défavorisés.
Sources : AFP, FMI, AWP
Bonjour,
Je trouve l’
Les banques au pied du mur de la dette de l’immobilier
Le march
La Gr
Rien ne prouve que la Gr
Bonjour,
Mais notre syst
Il n’est pas meilleur et il suffit de voir la part que le logement a pris dans le budget et l’endettement des m
USA : septi
Chacun son syst