Les élus locaux craignent l’embrasement de la Guadeloupe
Reuters 17.02.09 | 13h14
POINTE-A-PITRE, Guadeloupe (Reuters) – Pointe-à-Pitre présente un visage de dévastation à l’issue d’une nuit de pillage et d’incendies de magasins et de biens publics qui font craindre un embrasement aux élus locaux.
Des troncs d’arbre et des carcasses de voitures encore fumantes jonchent les rues de la capitale économique de la Guadeloupe, malgré la présence des forces de l’ordre qui ont affronté toute la nuit des bandes de jeunes casseurs à l’aide de gaz lacrymogènes et de grenades assourdissantes.
La commune des Abymes, près de Pointe-à-Pitre, et celle de Sainte-Rose, dans le nord-ouest de l’île, ont vécu des scènes similaires.
Ces événements sont survenus en marge de la mobilisation du collectif contre la vie chère et les surprofits (LKP), dont les militants ont érigé mardi matin de nouveaux barrages après un mois de grève générale et au lendemain de l’arrestation musclée de plusieurs dizaines de manifestants.
Sur France Info, le président du conseil régional de Guadeloupe, Victorin Lurel, a estimé que l’île était désormais « au bord de la sédition ».
Dans un communiqué, la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a lancé un appel « au calme, à la responsabilité et à la retenue »
La dernière fois qu’il y a eu des indépendantistes aux Antilles françaises, c’était juste avant l’indépendance de la Dominique, petite île préalablement britannique entre la Martinique et la Guadeloupe.
Il y a eu un cyclone l’année d’après leur indépendance et les Dominicains se sont retrouvés ouvrier agricole et femme de ménage chez les « riches » Antillais français ; ça les a calmés !
Une génération après, l’oubli aidant, ça recommence ; virons cette danseuse une fois pour toutes, ils devront apprendre à travailler pour vivre.
Les élus locaux craignent l’embrasement de la Guadeloupe
Reuters 17.02.09 | 13h14
POINTE-A-PITRE, Guadeloupe (Reuters) – Pointe-à-Pitre présente un visage de dévastation à l’issue d’une nuit de pillage et d’incendies de magasins et de biens publics qui font craindre un embrasement aux élus locaux.
Des troncs d’arbre et des carcasses de voitures encore fumantes jonchent les rues de la capitale économique de la Guadeloupe, malgré la présence des forces de l’ordre qui ont affronté toute la nuit des bandes de jeunes casseurs à l’aide de gaz lacrymogènes et de grenades assourdissantes.
La commune des Abymes, près de Pointe-à-Pitre, et celle de Sainte-Rose, dans le nord-ouest de l’île, ont vécu des scènes similaires.
Ces événements sont survenus en marge de la mobilisation du collectif contre la vie chère et les surprofits (LKP), dont les militants ont érigé mardi matin de nouveaux barrages après un mois de grève générale et au lendemain de l’arrestation musclée de plusieurs dizaines de manifestants.
Sur France Info, le président du conseil régional de Guadeloupe, Victorin Lurel, a estimé que l’île était désormais « au bord de la sédition ».
Dans un communiqué, la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a lancé un appel « au calme, à la responsabilité et à la retenue »
La dernière fois qu’il y a eu des indépendantistes aux Antilles françaises, c’était juste avant l’indépendance de la Dominique, petite île préalablement britannique entre la Martinique et la Guadeloupe.
Il y a eu un cyclone l’année d’après leur indépendance et les Dominicains se sont retrouvés ouvrier agricole et femme de ménage chez les « riches » Antillais français ; ça les a calmés !
Une génération après, l’oubli aidant, ça recommence ; virons cette danseuse une fois pour toutes, ils devront apprendre à travailler pour vivre.