Alors que la société Goldman Sachs pourrait être dotée de quelques aspects pour le moins sulfureux, la banque d’investissement table sur un maintien du repli du dollar dans les 12 mois à venir. L’établissement fait état d’une détérioration plus rapide que prévu des perspectives économiques des Etats-Unis et de probables nouvelles mesures d’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale pour justifier sa position.
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Dans une note de recherche, Goldman Sachs a ainsi précisé que les récents commentaires des différents responsables de la Fed laissaient entendre que la banque centrale allait vraisemblablement annoncer de nouvelles mesures lors de sa réunion de novembre. Lesquelles devraient avoir un impact négatif sur le billet vert. Dans un tel contexte, la banque table désormais un euro à 1,40 dollar d’ici trois mois, à 1,50 d’ici six mois et à 1,55 dollar d’ici 12 mois. Les estimations précédentes faisaient mention respectivement de 1,22, 1,35 et 1,38 dollars.
Rappelons que lundi, le président de la Fed, Ben Bernanke a déclaré que les achats d’actifs réalisés par la Réserve fédérale des Etats-Unis avaient contribué à faire baisser les coûts du crédit et à soutenir l’économie. Ajoutant que de nouveaux achats de ce type pourraient permettre d’assouplir encore la situation financière.
Sources : AFP, Reuters
Dans une note de recherche, Goldman Sachs a ainsi précisé que les récents commentaires des différents responsables de la Fed laissaient entendre que la banque centrale allait vraisemblablement annoncer de nouvelles mesures lors de sa réunion de novembre. Lesquelles devraient avoir un impact négatif sur le billet vert. Dans un tel contexte, la banque table désormais un euro à 1,40 dollar d’ici trois mois, à 1,50 d’ici six mois et à 1,55 dollar d’ici 12 mois. Les estimations précédentes faisaient mention respectivement de 1,22, 1,35 et 1,38 dollars.
Rappelons que lundi, le président de la Fed, Ben Bernanke a déclaré que les achats d’actifs réalisés par la Réserve fédérale des Etats-Unis avaient contribué à faire baisser les coûts du crédit et à soutenir l’économie. Ajoutant que de nouveaux achats de ce type pourraient permettre d’assouplir encore la situation financière.
Sources : AFP, Reuters