Le prix du baril a été largement boosté mercredi par la faiblesse accrue du billet vert.
Le cours a ainsi franchi le seuil de 84 dollars à New York. Une première depuis cinq mois, alors même qu’une augmentation des stocks de brut a pu être observée aux Etats-Unis. Les volumes stockés ont progressé de 3,1 millions de barils la semaine dernière, les analystes s’attendant quant à eux à une hausse limitée à 300.000 barils.
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Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en novembre a achevé la journée à 83,23 dollars, en hausse de 41 cents par rapport à la veille.
Dans la journée, le cours a même atteint 84,09 dollars, son plus haut niveau depuis le 4 mai, avant d’afficher un repli.
Sur les deux dernières semaines, le prix du baril a progressé de plus de 10 dollars.
Parallèlement à Londres, sur l’Intercontinental Exchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique progressait quant à lui de 22 cents à 85,06 dollars. Au plus fort de la journée, il a même atteint 85,88 dollars, son plus haut niveau depuis le 5 mai.
Mercredi, le dollar est tombé à son plus bas niveau depuis février face à l’euro, et depuis 15 ans face au yen. Une dégringolade observée depuis la mi-septembre qui attire les investisseurs munis d’autres devises.
Sources : AFP, Reuters
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en novembre a achevé la journée à 83,23 dollars, en hausse de 41 cents par rapport à la veille.
Dans la journée, le cours a même atteint 84,09 dollars, son plus haut niveau depuis le 4 mai, avant d’afficher un repli.
Sur les deux dernières semaines, le prix du baril a progressé de plus de 10 dollars.
Parallèlement à Londres, sur l’Intercontinental Exchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique progressait quant à lui de 22 cents à 85,06 dollars. Au plus fort de la journée, il a même atteint 85,88 dollars, son plus haut niveau depuis le 5 mai.
Mercredi, le dollar est tombé à son plus bas niveau depuis février face à l’euro, et depuis 15 ans face au yen. Une dégringolade observée depuis la mi-septembre qui attire les investisseurs munis d’autres devises.
Sources : AFP, Reuters