Au printemps dernier, le gouverneur de la Banque d’Israël, Stanley Fischer avait pronostiqué une récession de 1,5% pour l’année 2009. Bilan quelques mois après, Israël a affiché pour l’année écoulée une croissance de 0,5% alors que les pays membres de l’OCDE ont accusé une chute de 3,5%.
L’économie israélienne, qui est passée en quelques années d’une industrie basée sur l’exportation des agrumes à une industrie basée sur les hautes technologies et les technologies environnementales, a plutôt bien résisté à la crise. Les chiffres sont d’ailleurs là pour le prouver: le taux de chômage s’est stabilisé à 7,7% et le déficit public a été limité à 4,1% du PIB. Pour 2010, la banque centrale israélienne prévoit même une croissance soutenue, comprise entre 3,5 et 4%, un niveau qui n’a plus été vu depuis de très nombreuses années en France.
La résistance de l’économie israélienne, dont les principales banques (Discount, Mizrahi, Leumi et Hapoalim) ont été peu victimes des subprimes, a impressionné les membres de l’OCDE. Ainsi, il y a quelques jours, lors d’une visite à Jerusalem, le secrétaire général de l’organisation, Angel Gurria, a affirmé qu’Israël a de bonnes chances de rejoindre ce cercle des pays développés cette année.
Toutefois, il reste de nombreux points noirs à surmonter. Outre la corruption qui gangrène les contrats militaires, la pauvreté endémique d’une partie de la population israélienne demeure le principal défi du gouvernement, défi auquel il ne s’est pas encore attaqué. Selon des données officielles, plus de 20% des foyers israéliens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les principales victimes de cette pauvreté sont les arabes israéliens qui représentent 20% de la population et les ultra-orthodoxes (8%) sans oublier une partie des sépharades dont l’intégration dans la société ashkénaze n’est pas encore totale. La hausse de l’inflation, qui a obligé la banque centrale israélienne a remonté ses taux à 1,25% en janvier, affecte prioritairement ces catégories de la population d’Israël. Un défi que le gouvernement de coalition dirigé par le Likoud devra venir à bout s’il ne veut pas hypothéquer l’avenir d’une génération d’israéliens.
Christopher Dembik, forex.fr
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