(11 commentaires)

  1. Plus ça va et meilleur c’est ! Je trouve ça bourré d’intelligence et de finesse. Auriez vous une source d’inspiration « personnelle » pour coucher c’est petites histoires criantes de vérité ?

  2. Je me reconnais dans cette tranche de vie (l’argent du beau-père en moins)

  3. Belle prose, j’aime…
    Mais: « après avoir été assommé par votre beau-frère »
    Désolée, je ne peux pas m’en empêcher…
    Message à effacer quand l’erreur sera corrigée…

  4. Logique d’une baisse annoncée.
    Lorsque j’ai acheté un appartement en 93 juste après l’inversion du cycle immobilier, je n’ai pas demandé la baisse mensuelle de 1 %communiquée par la FNAIM ou attendu que le vendeur (promoteur) baisse son prix de 1 %.
    Je n’ai pas non plus repris cette valeur pour établir ma proposition de prix.
    J’ai simplement appliqué le montant de baisse que j’estimais réaliste pour établir nom offre de prix : une baisse de plus de 600 000 Francs sur un appartement avec terrasse dans le neuf haut de gamme à plus de 2 000 000 de Francs, soit une baisse de l’ordre de 25 %.
    Sans la disposition d’une terrasse j’aurais sûrement pu obtenir une baisse plus conséquente.
    Voilà la réalité des transactions. Elles se font avec de vrais baisses de prix qui paradoxalement ne se matérialise pas dans la communication de la FNAIM ni des médias. Bizarre non ?

  5. Bravo Yanes,
    je m’amuse bien à te lire… et je m’y retrouve unn peu -comme beaucoup surement;
    Mais tout de même, cette histoire est elle actuelle ou un peu ancienne? car les preuves de baisses s’accumulent dans la presse, il y a de plus en plus de matière pour la convaincre, non?
    Cordialement

  6. pour répondre à Jack Palmer,
    je pense sincérement que malgré les preuves de baisse dans la presse, mon histoire est d’actualité, les gens ont du mal à admettre que ce genre de chose peut arriver
    Merci pour les encouragements

  7. Je confirme, mon beauf va acheter le RDC d’une maison en copropriété (F4 + un petit terrain) pour 220000 euros. Lui et sa femme gagne a peu près 4000 euros, ce qui est pas mal pour un ménage mais pas suffisant pour acheter un bien immobilier correspondant à la « réalité » de leur revenu. L’immonilier est vraiment déconnecté de la réalité.
    Motif de l’achat : perte d’un loyer mensuel ; espérance d’une plus value lors de la revente dans une dizaine d’années, pression familiale (du style « moi j’ai acheté » vous connaissez maintenant le disocurs grâce à Yanes.

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