Les familles américaines jetées à la rue par la crise immobilière. Le Département du logement et de l’urbanisme a déclaré que le pays compte pas moins de 750 000 sans-abri, dont 40 % de familles !
« L’Etat du Massachusetts a recensé la semaine dernière 1800 familles sans abri dans les foyers, soit 400 de plus qu’en juin 2006, selon des statistiques officielles. Jamais ce chiffre n’a été aussi élevé depuis la mise en place du programme d’hébergement en foyer en 1983. Lisa Rivera, sa fille de 9 ans, ses trois autres enfants âgés de 18 mois à 14 ans errent de foyer en foyer. Elle dispose de 1700 francs (suisses), aide sociale comprise. Mais les loyers dans la région de Springfield oscillent entre 1000 et 1500 francs par mois. «Un travail au salaire minimum, pour 40 heures par semaine, ne suffit pas à payer le loyer»… » Source : Familles américaines jetées à la rue par la crise immobilière
Ces chiffres confirment ce qui a été observé dans d’autres états américains, la crise des subprime a jeté à la rue un nombre important de familles. Leurs maisons ont été saisies. La plupart, repartent vivre avec leurs familles, d’autres parviennent à trouver une modeste location, mais celles qui sont étranglées par les dettes et qui ont des revenus trop modestes ou irréguliers, finissent dans la rue. C’est bien triste.
Cette image est très suggestive et illustre bien cet article : les impayés, pour cause de taux qui grimpent et et des dettes qui s’accumulent, font s’effondrer les murs des illusions de de la maison, et on se retrouve dans la rue. Ayons une pensée (et une petite pière) pour les victimes des subprime et du surendettement. Après tout, ces gens sont coupables de s’être acheté un toit… trop cher. Mais les banquiers ont aidé et soutenu la spéculation. Ce n’est pas facile de renoncer au rêve quand on vous met toutes les clés (empoisonnées) dans les main.
J’ai l’impression que la dame dit « Santé » en allemand, pourquoi ?
Saint-Joseph aidez-nous à vendre notre maison !
USA : les gens ont acheté des maisons sans en avoir les moyens
En effet, « Gesundheit » veut dire santé et se dit à une personne qui éternue (comme en français : à votre santé).
Bonne nuit.
… et ceci pas seulement en Allemagne, mais aussi aux
Certaines banques Françaises (BNP
Donc il a suffit que monsieur éternue (s’appellerait-il Down Jones ?) pour que la maison s’écroule.
Il y avait un reportage ce dimanche à 19 heures sur TF1 « Sept a Huit »
Familles en faillite.
les témoignages révèlent l’ampleur du désastre et le désespoir des emprunteurs
110000 familles expulsées en 3 mois qui ont tout perdu et SDF les prévisions 7 millions en 2008. (Toutes catégories sociales).
Selon l’intervenant la crise n’est pas terminée elle va affecter en 2008 de nombreux secteurs dans le monde et en Europe.
Merci krek, je comprends mieux mainteant le pourquoi de « santé » !
Et c’est marrant de savoir que cela se dit aussi aux States en Allemand. Je ne l’ai jms entendu.
Oui, j’ai vu ce reportage, et je voulais rédiger là dessus, mais bon.
Les chiffres (prévisons) donnent le vertige, et les 110.000 sdf en 3 mois, c’est ahurrissant.
La défiscalisation risque de coûter très chère à l
Le crédit Agricole fait de la PUB « nous ne sommes pas exposés aux SubPrime »
Non, le crédit Agricole via sa filiale n’est exposé qu’à la hauteur de 225 milliards de $ c’est vraiment très peu.
Il y a de la désinformation permanente, ou alors de l’information d’une piètre qualité… (par ex, les pubs immo, sont parmi les pires qui soient, et ne communiquent pas sur le produit ni sa compétitivité).
Cette semaine est celle des résultats et wall street se prépare à la déferlante.
La désinformation est totale
la crise n’est pas terminée et va ralentir l’économie mondiale et en Europe d’après les commentaires fait lors du reportage sur TF1 sept à huit.
Pour les faillites des familles en Amérique
Les prévisions pour les prochains mois sont dramatiques il est question de 7 millions de ménages;
Mais en France on nous dit que tout va bien tout va très bien!!
nous sommes dans une bulle qui nous protège de l’inflation du surendettement de la misère.
Il n’y a pas de prêts risqués, pour les banques,
uniquement pour les emprunteurs qui, en cas de difficultés devront rembourser jusqu’au dernier centime leurs crédits.