Epaves thermiques II.

GalereIl est évident que quand le logement ne correspond plus aux attentes, qu’il a vieilli un peu, on peut se poser la question de savoir qu’est ce que l’on en fait.
Il est moins coûteux de faire du neuf, que de remanier de l’ancien.
Et il est clair, que la crise de l’énergie, n’était pas prévue. Il y a peu, c’était une vue de l’esprit, et il y a 50 ans, encore plus.
M K Hubbert était un illustre inconnu, à qui son employeur imposa silence.
Et il est aussi clair qu’on a perdu l’habitude de construire comme dans le passé.

Naturellement, on construisait « économe énergiquement parlant », parce que de l’énergie, on n’en avait pas.
Soient les murs étaient beaucoup plus épais, ou les matériaux utilisés sauvegardaient l’énergie, comme le pisé. En Bref, on utilisait un tas de techniques empiriques pour bénéficier d’un minimum de confort qu’on aurait pas eu autrement.
Le problème est apparu avec la construction d’après-guerre où on se préoccupait fort peu d’économies. Le jeu des générations, la fatigue des propriétaires, ou l’éloignement des héritiers fait qu’ effectivement aujourd’hui, des jeunes générations acquièrent assez inconsciemment une belle galère.
Comme je l’avais déjà écrit dans un article, l’immobilier sera chargé de faire le gros des économies d’énergies (toutes énergies), c’est possible et réalisable techniquement parlant.
Reste le coût.
Et là, attention…