Merci à Beber pour m’avoir signalé l’article. Alan Greenspan n’est guère optimiste pour la suite.
« les marchés prennent conscience du fait que le repli des prix immobiliers aux états-unis se poursuit »
Question, se poursuit ou s’accélère et prenne l’allure d’un effondrement ?
« Et cela se produit à un rythme jamais vu depuis les 50 dernières années ».
Mais une dérive plus grave est lâchée, c’est la métastase de la crise :
« Nous commençons à observer la chute de nombreux type d’actifs ».
Si certains vont plus loin, tel Gerald Celente, qui prévoit en 2008 une crise financière monstrueuse et un effondrement de 90 % de la valeur du $, la crise prend partout des allures plus archaïques.
Si la consommation se sent mal en France, ce sont des émeutes de la faim qui agitent l’ Afrique.
Sous l’effet du libéralisme ambiant, ces pays ont renoncés à l’auto-suffisance alimentaire, pour passer aux bienfaits du marché.
De plus, ces pays, malgré des prix exorbitants de l’énergie, sont en situation de pénurie. Le pétrole n’est qu’à cent dollars, ou presque, que parce que certains ont du renoncer à en consommer.
Ces hausses ont plusieurs causes.
D’abord la flambée du coût de l’énergie, ensuite l’utilisation des récoltes pour produire de l’ éthanol, ensuite la création monétaire sous l’effet de la crise « subprime », ensuite la fuite devant un dollar, qui désormais brûle les doigts à beaucoup.
Résumons :
– les crises se conjuguent et s’entrecroisent, crise immobilière d’abord (benine avec des gouvernements compétents),
– crise du modèle libéral,
– crise de l’énergie enfin, la plus grave.
Dans un contexte pareil, la valeur du prix de l’immobilier va devenir fort aléatoire…
« D’abord manger ! » Allemagne 1933.
……guerre mondial 1945…… après l’hyperinflation et » le beurre ou les canons »
jolie programme et si on exumait le BANCOR ?
vieiux problemes, vieux remedes. en effet le bancor semble indiqué.