Triste fin de règne.

Gwb Les empereurs ne savent pas la règle d’or.
Elle est qu’ils ont plus à craindre les prétoriens que quiconque.
Même s’ils leur doivent tout, ils finiront par les liquider.
La CIA a fait avorter la tentative d’agression contre l’ Iran, en concert avec le pentagone, indiquant que quand on franchit la ligne, notamment en faisant voter des lois « limites », il y a toujours des juristes pour retourner le concept.
A toutes les époques, les dictateurs ont trouvé leurs maitres dans leurs subordonnés.
Leurs adversaires n’existaient plus.

Qualifié dans des émissions  de menteur pathologique, G.W Bush, vient de laisser échapper plusieurs petits bouts de vérités. Il n’avait guère le choix faut il dire.
Des « nuages d’orages » se forment sur l’ économie américaine, qui bien entendu reste « forte » et avec de « solides fondations ».
Pas comme le secteur immobilier visiblement.
Là, la crise menace d’être maximale.
Mais le propos le plus important est le propos final, annonciateur d’un changement de paradigme : il a invoqué le rôle que pouvait jouer les… exportations.
Une première depuis très longtemps. Sans « consommateur américain » où est la mondialisation ?
Il est dans un « Cercle vicieux de faillites personnelles, d’effondrement de l’immobilier et de pertes croissantes des actifs financiers ».
Mais bien sûr, suivant le dogme en vigueur, toujours sans récession !

C’est si dur que cela d’avouer une débandade militaire, économique, financière, sociale, immobilière ?

(4 commentaires)

  1. Mister Bush a transformé le rêve américain en cauchemar. J’ai décidé de lui payer su ma cagnotte perso un voyage à Guantanamo (station balnéaire américaine). Et surtout, qu’il y reste !!!

  2. l’économie américaine n’est pas mal en point contrairement à ce que vous affirmez. Elle est même encore et toujorus plus dynamique que l’économie européenne. Leur croissance structurelle est de 3%

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