Il y a une définition claire et ancienne du patrimoine.
C’est l’ensemble des biens et créances possédées, diminuées des dettes.
Il est logique d’avoir des biens immobiliers, des biens mobiliers, quelques placements à terme (les créances), un peu de liquidités.
Les liquidités couvrent la plupart du temps, une toute petite partie de la contrepartie, les dettes.
Il est difficile de réaliser ses biens.
Il faut trouver l’acheteur pour une maison ou un appartement, les meubles ne valent rien, les placements à terme reflètent l’état du système bancaire.
Les titres pourris sont partout, dans les fonds de pensions, les contrats d’assurances vie, les sicav.
On ne peut réellement compter que sur les liquidités.
Et l’emprunt. On a vu, dans un sens, ça marchait bien, dans l’autre, la situation des ménages passe de la richesse et de « ah, (si) j’étais riche » aux « Bateliers de la Volga ».
Visiblement, les britanniques en sont au stade de la batellerie humaine (et une maison, ça bouge pas si bien qu’une péniche).
De 50 000 £ à 180 000 £ le logement, c’était juste des chiffres en l’air.
La trésorerie n’y était que sous la forme de découvert…
Et la baisse atteint 2.5 %, en UN SEUL MOIS. Bien sûr, le comique de service (Halifax) assure » la baisse des prix pourrait être limitée par « des fondamentaux économiques solides « .
çui-là, il y avait longtemps qu’il était pas sorti prendre l’air…
En France, les contribuables les plus aisés ont pu profiter du De Robien (sur l’air du « Ah quand j’étais riche », j’aurais mieux fait de tout dépenser), ou De robien (des bois) vole au plus riche pour donner à …on sait pas précisément, mais beaucoup de monde (sauf les pauvres).
Quand à l’immobilier zétazuniens, il continue de souffrir, mais les comiques s’en donnent à coeur joie : « oui, ça va baisser un peu cette année, mais ça va redémarrer en fin d’année, et les prix augmenteront l’année prochaine ».
Bon, pour d’autres (tant pis si je l’ai déjà sortie), c’est les éléphants roses.
Il est bien connu, que les ménages américains croulent littéralement sur le poids de leur épargne, et utilisent leurs billets pour tapisser tellement ils en ont…