On peut entendre sonner les cors de chasse, pour la chasse au banquier central, d’abord Greenspan, ensuite Bernanke, et sans doute, par extension à toute l’espèce.
Il faut dire que cette engeance est d’une rare nuisance.
Et que personnellement j’ai un faible pour Andrew Jackson, président des zétazunis qui avait éradiqué la bête immonde pour quelques décennies.
Mais, on ne peut faire l’économie d’impliquer ses complices. « Qui t’as fait roi ? »
Les hommes politiques qui ont voulu relancer le libéralisme, nous ont conduit au krach en 1987, et, comme disait un internaute, on en est sorti par un effet Heisenberg, en essayant de rectifier, on crée un monstre pire.
De fil en aiguille, de bulle en bulle, et la dernière immobilière, la situation empire chaque fois, et chaque fois, le rebond est moins violent.
L’intérêt du producteur de monnaie n’est pas qu’il y ait une monnaie stable, c’est pour lui, d’en produire de plus en plus, et qui vaut de moins en moins.
il faut dire que l’homme, Greenspan est caricatural. Il n’a jamais cru en ce qu’il faisait, c’était, à l’origine un défenseur de l’étalon or, mais, excellent courtisan, tout entier à sa carrière, il a su mettre ses convictions entre parenthèses.
S’est il posé la question de savoir où le conduirait sa carrière.
Souvent, les « magiciens » financiers finissent en fuite ou à l’échafaud.
la prochaine bulle est désignée : nano et bio tech, physique de l’hydrogène et des trous noirs ; elle va considérablement modifier et booster l’homme ; c’est pourquoi, il faut épurer auparavant par une guerre régénératrice, en liquidant quelques millions par le bas et par le haut (ne conservez que les tendres moutons), en redéfinissant aussi les territoires des 2-3 puissants qui se partageront le contrôle du monde, nouvel ordre que les survivants chériront en choeur pour les mettre à l’abri du « pire » (qui est toujours à venir et pour cause)…