Nicolas-l’économe devrait être content, les français économisent.
Par contre, le déficit budgétaire sur les deux premiers mois atteint 22 milliards de Zeuros (la monnaie de monopoly dont nous nous servons).
Ces infâmes gauchistes roulent moins, dans de plus petites voitures, des petites voitures le moins chère possible, l’habillement chute, et le taux d’épargne ne montre pourtant pas le moindre signe de faiblesse.
Des trostkystes, j’vous dis.
Ils n’ont pas compris qu’EUX devaient consommer, dépenser et s’endetter…
© Rémi Kaupp, CC-BY-SA, Wikimedia Commons
D’ailleurs, dans le monde du bâtiment et du second oeuvre, la donne est la même.
Si l’on classe les systèmes de chauffage du plus couteux au moins dépensier, on va du propane, à l’électricité (classique), au fioul, enfin au gaz naturel, pour finir au renouvelable, chaudières aux granules, PAC (pompes à chaleur).
Aujourd’hui, l’activité flambe sur ce secteur du renouvelable.
Avec un baril à 120 $, cela se comprend. Dans ce secteur, je cite : « chaque fois que le baril prend un dollar, j’ai dix commandes »
Pour l’activité dans le bâtiment, il est clair que cette roue de secours marche TRES fort en ce moment.
Après le coup de froid de fin 2007 début 2008 sur la construction neuve, le relais semble trouvé.
D’autant que les clientèles ne sont souvent pas les mêmes.
Ce sont souvent les logements anciens, amortis et sans emprunts courants dessus qui sont concernés.
Là aussi, le changement d’époque est consommé.
Les investissements sont fait pour l’occupation en propre et non pour la location.
PS : Ayons une pensée émue pour un décès. La chaudière à céréale est trépassée. Pas de pleurs, ni de couronnes. En plus celles en activité trépassent vite. Les céréales, acides brûlent ces chaudières en un rien de temps…
les francais economisent plus et depensesnt moins . y a plutot interet , qd ces escrocs d’investisseurs de tout poil auront compris qu’en augmentant les salaires (au detriment de leurs benefs) , la machine de la conso pourra peut etre redemarer . ils risquent de perdre plus en misant tout sur le credit