Crise aiguë…

Il n’y a aucune chance que la Grande-Bretagne échappe au pire.
Les transactions immobilières y ont baissé de moitié, les banques sont exsangues.
« La perte du moral » des ménages, n’est pas une perte de moral.
Un ménage, ça n’a pas de moral, ça a des sous, ou pas.
Des sous, les ménages britanniques n’en avaient pas trop.
Désormais, avec le resserrement bancaire, il y en aura encore moins.
Dans un contexte tendu, un million de britanniques doivent renégocier leurs emprunts.
Avec des banques qui n’ont rien à renégocier.

Ce pays est un échec. L’industrie a été liquidé. Le pétrole et le gaz qui avaient été la base de la politique Thatchérienne voit sa production dégringoler régulièrement, et sa dernière monoculture, la banque, vient d’être frappé par des nuées de sauterelles.
Cela n’empêche pas le gouvernement de poursuivre ses lubies.
Après une politique qui a si bien foiré, et dans tous les domaines, il faut l’étendre au domaine alimentaire.
Surtout en ces temps de crise, dans ce domaine aussi.