Globalisation : la fin…

Images La globalisation est entrée en phase terminale de son agonie.
Les déclinistes français, le gouvernement, si prompt à faire ratifier le traité de Lisbonne par une bande de pas-bien-malins ayant visiblement du mal à appréhender la réalité, sont de plus en plus en porte-à-faux, avec cette réalité, pour répondre par un discours pré-formaté et pré-maché.
La cause ? Le prix du pétrole. Son abondance et son bas prix avait permis la globalisation, c’était même, sa seule explication.
L’extraordinaire envolée du prix du pétrole la fusille, la crise immobilière la décapite, la crise financière l’explose.

Et pendant ce temps là, Kouchner va faire la morale aux irlandais.
« Mortished rassemble quelques données très concrètes pour mettre en évidence les facteurs qui mènent et doivent mener de plus en plus à un déclin accéléré des échanges commerciaux sur les grandes distances, pour un replis sur les petites distances  « .
En même temps, des lueurs d’espoirs apparaissent.
Un tout petit pays a réussi a vaincre USA, Grande-Bretagne et famine, c’est le Malawi. Il a accédé à l’autosuffisance alimentaire, passant d’une production de 1.2 millions de tonnes de maïs à 3.2 et d’un manque de 1 million de tonnes à un excédent de 1 million.
Il a subventionné la petite agriculture familiale, par des engrais, de l’outillage, des semences.
On le voit une politique révolutionnaire.
Quel va être l’effet, sur la France de la crise énergétique ?
Toute l’infrastructure urbaine va être en porte-à-faux.
A l’exemple de ce qui s’est passé pendant la dernière guerre, on va s’apercevoir qu’il est très délicat d’amener de l’approvisionnement aux populations urbanisées.
Encore faut il savoir ce qu’est une population urbaine.
Des cités n’ont pas la population qu’elles avaient au Moyen-âge, ravitaillées par des charrettes.
On peut s’imaginer qu’elles resteront viables, et même qu’elles pourraient connaitre une autre jeunesse.
Mais 10 millions d’habitants, cela reste 10 millions d’habitants, auquel il faut, en moyenne, une tonne de vivre chacun, par année, et qui plus est, qu’il faut l’amener de fort loin.
Alors, les couillonnades écologistes sur les transports en commun, cela confine à la simplicité d’esprit.

Image : un gag de 2007, l’envolée des prix du pétrole à cette époque. C’était le bon temps.

(28 commentaires)

  1. La beauce reste la zone numéro 1 de production agricole de la France, et il n’est pas si difficile d’amener sa production jusqu’à Paris.

  2. Revenons qqs année en arrière : Le gouvernement de Malawi a été pointé du doigt (et même diabolisé) par les Kouchners de service pour avoir eu l

  3. Ce message s’adresse à « ……. »
    J’étais sur ton blog, et je constate qu’une chose: le nombre de fautes d’orthographe et de grammaire m’ont dégouté de lire plus que 10 lignes de ton analyse.
    Tu devrais corriger ces fautes pour te donner un air plus crédible.
    PS: un exemple de ce que je viens de lire sur ce blog.
    « ni donc à une pénurie mais uniquement à cause de la scandaleuse spéculation boursière qui, ont peu le croire, ne tiens aucun compte des évènements de la vie réelle !!! »

  4. Bjr,
    Puisque d’après vous « les couillonnades écologistes sur les transports en commun, cela confine à la simplicité d’esprit » c’est quoi votre plan B, Mr « j’me comprends » ?

  5. Bjr Mr Reymond,
    Puisque « les couillonnades écologistes sur les transports en commun, cela confine à la simplicité d’esprit », quel est votre plan B pour répondre à la déplétion pétrolière & gazière, Mr « j’me comprends » ?

  6. Je cite Gore Vidal, un grand écrivain américain et un grand homme tout court : « Il n

  7. « Alors, les couillonnades écologistes sur les transports en commun, cela confine à la simplicité d’esprit. »
    Evidemment, avoir des idées écologistes c’est débile… En fait non, je pense que ce sont des personnes comme Reymond, qui à priori se sentent plus malin que la moyenne, qui ont l’esprit confiné par la société de consommation dans laquelle nous vivons. Il convient de voir un peu plus loin que le bout de son nez : le pétrole a permit une croissance fulgurante à l’échelle mondiale, sa fin sera un retour vers une civilisation organisée pour sa survie. Les villes de 10 millions d’habitants n’y survivront pas.

  8. je le répéte : les transports en commun sont une couillonnade. Ils servent à entasser une population, alors que la baisse des ressources impliquera de la répartir, au plus près des ressources de toutes natures.
    Cela ne veut pas dire, que je considére toutes les idées écologistes comme malvenues, mais celle-là est particulièrement nulle.
    La fin du transport individuel ne changera rien à la donne. J’ai toujours considéré cette revendication comme celle de bobos urbains friqués, qui eux habitent les bons quartiers.
    La majorité des citoyens de ce pays n’a tout simplement pas le choix de la centralité.

  9. @Lonuestro
    Je cite Jacob Braude :
    « Le pire con, c’est le vieux con. On ne peut rien contre l’expérience. »
    Ton petit toto

  10. C’est sur que le sujet de l’immobilier, à coté de clui-ci, c’est de la rigolade…
    Je suis en train de lire ‘Pétrole apocalypse’ de Yves Cochet. C’est étonnant comme il avait perçu un grand nombre de phénomène que nous pouvons constater dés aujourd’hui… à lire… ses prévisions, pessimistes, étaient basées sur un baril à 50 dollars… imaginez à 140 dollars, nous sommes dans de beaux draps. Combien de temps faudra t’il pour s’en rendre compte ? quand réagirons nous ?
    personne ne veut monter un blog sur le sujet ? parce que il y a de la matière…

  11. En même temps cela ne vaut rien dire.
    C’est pas étonnant de ta part puisque tu n’as jamais rien à dire.
    Mon petit toto.

  12. Mon seul regret c’est que ce sont nos enfants qui vont pas payer le plus l’addition de notre débilité profonde.
    A part ça, la déplétion est le second souffle que la planète attendait.

  13. L’énergie bon marché a permis l’exode rural et la concentration de population dans les mégalopoles.
    Mais avec l’augmentation du coût de l’énergie, nous allons assister à l’exode urbain.

  14. La hausse de l’immobilier a l’exode urbain. Peut être que se baisse associer a la montée de l’énergie pourrait ramener les gens vers l’exode rural !
    L’exode urbain a été le possibilité aux ruraux, le plus souvent issue de l’agriculture vers les plaisir de la ville et le salaire aussi.
    Je tablerait personnellement sur l’exode financier. Les gens vont partir vivre ailleurs 🙂

  15. Courrier pour not peti TOTO
    Petit crétin dont le seul trait de caractère est cette propension à épouser l

  16. La dépression est un « état psychique pathologique associant une modification pénible de l’humeur…. C’est un état morbide, plus ou moins durable, caractérisé par la tristesse….
    Tes références sont morbides et triste : -Guerre 39-45, Attila, l’armée, la terreur, scalp et crânes de ses adversaires décapités…
    – A quoi bon……
    -Nous n

  17. Voilà que Toto se lance dans les conseils médicaux ;
    Mais mon cher Toto, je suis plus joyeux et sans doute plus jeune que toi.
    Je pari également que je suis moins à la mode que toi car personne de ce mode ne peut être aussi à la mode que toi.
    Au fait t

  18. Mais dans une autre vie, notre Toto été sans doute un expert en psychiatrie familiale ; Le curé du village ; toujours des bons conseils et pour tout le monde.
    Et puis dans l’incarnation d’avant un yogi (mais un maître yogi SVP) car comment expliquer autrement cette souplesse de sa colonne vertébrale.

  19. Docteur TOTO!
    Eh oo! Docteur TOTO.
    Tu nous manques.
    Je souffre de calvitie chronique.
    Connais-tu un nouveau remède.
    Mais faut qu’il soit à la mode SVP.

  20. Impatient, on porte, on poste….
    Prout ? Non, c’est pas moi.
    C’est le 2ième poste où tu fais référence à la chevelure et à la mode :
    ….cheveux, on n

  21. Oh! Mon cher TOTO, tu me manquais tellement ; On fait, je citais la mode, te concernant car j

  22. Pour tout le monde : Pour la depletion, c’est sur Oleocene.org qu’il faut aller, et faites circuler, c’est une bonne prise de conscience pour les moins avertis :

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