« En revanche, la connaissance de la baisse mi ou fin 2007 risque de porter un coup sensible au futur gouvernement ».
Et pas seulement qu’au futur gouvernement!
Pour moi une baisse de 13% au Etats-Unis n’est pas un crack, on a bien vu il y a peu des hausses par an bien plus importante que cela…
Alors attendons pour voir…
Heu Marie desole je suis pas d’accord avec ce que tu dis c’est rare, tu dis:
« Au Royaume-Uni, le marché hésite depuis mi-2005. Le haut de cycle semble atteint. »
Les prix ont en effet hesite en 2005 car les anglais attendaient une forte baisse en 2005 un minikrack, les economistes se sont plantes grave d’ailleurs, mais a partir de la fin de l’annee, vu que la baisse n’etait pas forte 2-3% seulement, ils ont repris confiance dans l’immo qui ne baisse jamais et petit a petit en absence de krack avere, ils se sont remis a acheter particulierement a Londres, capitale econmique du pays qui tire les prix a la hausse.
Les bonus de la City se sont deverses ensuite debut 2006 sur le marche immo et celui-ci est reparti en forte hausse, +10% a Londres sur l’annee…
A croire meme que la BoE a decide d’augmenter ses taux plus fort et plus vite qu’anticipe pour calmer la surchauffe. Taux a +5% et immo record on est certes pret et mur pour la baisse mais celle-ci n’a pas encore eu lieu…
J’espere juste pour vous que la France ne vas pas suivre l’exemple anglais sinon la baisse n’est pas pour tout de suite apres 1-1,5ans de stabilite il pourrait meme y a voir un nouveau rush de 10% comme chez las anglais, mais perso je n’y crois pas, la hausse a assez dure (8ans c’est pas mal non?) car la France suit toujours plus les americains que les anglais, comme en bourse!
Pas de crach en vue ? Rien n’est moins sûr.
Mais il est clair que les constructeurs ont réduit le nombre de constructions de façon notable. http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?&news=3925517
Le ralentissement des mises en chantier, qui avaient grimpé de 13% en 2005, s’explique par la baisse de 9,8% sur un an d’octobre à décembre, « particulièrement prononcée dans le collectif et l’individuel groupé », respectivement en chute de 12,9% et 14,9%.
La barre des 400.000 mises en chantier avait été franchie en 2005, contre seulement 308.396 en 2000.
Le ministère de l’Equipement insiste toutefois sur la reprise des mises en chantier de bâtiments non résidentiels, qui ont progressé l’an dernier de 5,9% à 38.839 après une légère baisse de 0,1% en 2005, « année de faible activité ».
Mais…
AFP « 561 737 permis de construire ont été autorisés en 2006, soit une hausse de 10 % par rapport aux 12 mois précédents… »
Construction: 420.894 logements ont été mis en chantier en France en 2006
PARIS, 30 jan 2007 (AFP) – Les mises en chantier en France ont augmenté de
2,6% en 2006 par rapport à 2005 pour atteindre 420.894, un chiffre moins élevé
que prévu liée à la chute de près de 10% enregistrée au dernier trimestre, a
annoncé mardi le ministère de l’Equipement dans un communiqué.
Le nombre de permis de construire a en revanche progressé de 10,0% sur un
an, à 561.737, une croissance encore « forte » après des hausses de 22 et 12% en
2004 et 2005, tirée par le logement collectif qui gagne 16,2% et rattrape
pratiquement l’habitat individuel (+4,4%), selon le ministère.
Le ralentissement des mises en chantier, qui avaient grimpé de 13% en 2005,
s’explique par la baisse de 9,8% d’octobre à décembre par rapport au dernier
trimestre de l’année précédente, « particulièrement prononcée dans le collectif
et l’individuel groupé », respectivement en chute de 12,9% et 14,9%.
La barre des 400.000 mises en chantier avait été franchie en 2005, contre
seulement 308.396 en 2000.
Le ministère de l’Equipement insiste toutefois sur la reprise des mises en
chantier de bâtiments non résidentiels, qui ont progressé l’an dernier de 5,9% à
38.839 après une légère baisse de 0,1% en 2005, « année de faible activité ».
Le ministre de la Cohésion sociale et du Logement, Jean-Louis Borloo,
s’était félicité fin décembre d’une « année des records de la construction en
France », tandis que la Fédération française du bâtiment qualifiait 2006
d' »excellent millésime ».
cfe/ros/swi
AFP
Marie,
Peux tu me renvoyer un mail à mon adresse.
Cdt..
J’ai un métier basé sur le relationnel, et quand on discute avec les gens on se rend compte quand 1 an 1.5 ans la baisse de l’immo commence à s’intégrer dans l’esprit collectif et tout le monde et d’accord pour dire que cela et trop cher et même que cela va baissé chose qu’on aurait jamis dit il ya deux ans. Je pense que pour les années à venir les acheteur potentiel se montreront trés prudant!!!
Il est vrai que l’on ne parle pas beaucoup du crack immobilier qui a lieu aux Etats Unis de peur qu’il y ait un impacte trop rapide et trop fort sur la France (et oui le protectionisme avant tout merci les médias)
En effet les chiffres publiés sont souvant publiés en retard comme pour le crack de 1989/1990, les chiffres des notaires annonçant la baisse sont apparus 1 an après le crack !
La Fnaim est aussi en retard lors de la publication des chiffres. Vous pourrez constater que les infos sont plus pertinantes lors des vacances (un clin d’oeil pour les stagiaires).
Crack de 89/90 étrangement des lots considérables de logements ont innondés le marché mis en ventes par des banques et des assurances…
Il est vrai que les chiffres publiés actuellement mettent en évidence une légère hausse des prix du marché immobilier. Les prix augmentent bien sur, il n’y a rien de plus simple à faire, mais les biens sont-ils vendus ou vendables?
Quelle est le taux de rotation d’un bien immobilier? Combien de biens sont sur le marché depuis plus d’un an ? Combien de biens immoblilier on été retirés de la vente car invendables ? Le délai de vente est de plus en plus long ! Mais ça les chiffres n’en parlent pas.
Un ami voulait vendre en 2004 son pavillon 160000
Pour djeg7 :
malheureusement, il y a encore des gens qui sont convaincus que ca ne peut pas baisser… Il n’y a aucun arguments pour appuyer la hausse, et il y en a tellement qui indiquent une baisse prochaine… et pourtant, certains continuent à y croire et ce ne sont pas des neuneus… La désinformation fonctionne bien…
Jean-Louis, c’est toujours le même problème, certains parlent de prix de présentation et d’autre de prix de vente…
Le prix de marché c’est les prix de vente, pas les prix de présentation.
Concernant les délais de vente certains comme century 21 annoncent autour de 70 jours, d’autres parlent de 90 jours. En fait on parle des délais de commercialisation des biens qui se vendent, hors seuls se vendent les biens dont le prix de présentation est proche du prix de marché, donc ces délais n’intègrent pas la commercialisation des invendus.
Aujourd’hui si vous demandez à une agence quel est le ratio de son portefeuille de logements qu’elle considère comme « vendable » vous verrez que ce ratio est rarement au dessus de 20%
Concernant le taux de rotation, dans la profession on l’estime à 6% au niveau national, c’est à dire que sur 100 logements 6 se vendront dans l’année.
Remarque pertinente et information intéressante, Jey. Comme quoi, les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas
Données et infos très intéressantes Jey merci.
Pour info, la barre des 700 000 annonces est franchie sur se loger . com. Ca ne cesse de monter.
Succés du site ou explosion des biens mis en vente/location et ne trouvant pas preneurs ?
Attention il s’agit de 615 211 logements à le vente sur se loger.com
Combien étaient en vente il y a un mois ?
Je ne peux rajouter qu’une chose : BRAVO ! C’est très précisement mon avis.
Merci cassonslesprix
Flyman, c’est bien les Américains que j’avais en tête. Je colle les deux phrases dans le même paragraphe pour plus de clareté.
L’Angleterre, me dit-on, a vu les prix remonter à cause des bonus de la City, et chaque année, vers nov, déc, jan, qd les bonus tombent en dépit du bon sens, la pierre repart encore, mais globalement dans le reste du pays, la flambée serait arrivée au bout. Il y a qd même un plateau dans les graphiques reprenant les données nationales.
Votre graphique est illisible. Vous devriez en proposer un plus gros, afin qu’on puisse lire les dates 🙂
je suis l’évolution des annonces sur ouest franc immo et sur seloger(achat + loc) depuis fin novembre presque tous les jours.
entre nov et aujourd’hui + 15% sur ouest france (on passe de 46000 à 53000) et + 8% sur seloger.com (on passe de 655000 à presque 710000)
En Angleterre ils sont arrivés à un tel taux d’endettement qu’ils n’ont même plus les pieds sur terre.
Ils sont obligés d’acheter un apart ou une maison à plusieurs couples afin de pouvoir s’offrir un logement.
Tout comme la location ou l’on stock 12 personnes dans une maison!
Je ne sais pas ce que vous en pensé, mais je trouve l’emprunt à 50 ans très intéressant pour maintenir les prix de l’immo vers le haut
Merci Hudson, force est de constater que les stocks de biens immoblilier augmentent de manière considérable
Oui, Michel, et c’est pareil en Irlande. Locations ou achats de logements à plusieurs.
C’est étonnant de constater que les premiers sites qui s’affichent sur google sont des blogs immobliliers élaborés par des médias comme France2 et France3? Ou bien mis en place par des pros de l’immo !
oui, ils ce sont des coquilles vides, il n’y a rien dedans, maisça fait 2 ans que c’est comme ça.
Matthieu, c’est le schtrumpf grincheux, la dernière fois il a râlé parce qu’un lien ne s’ouvrait pas. Et un compliment, tu saurais faire, Mat ?
Les graphiques sont à consulter sur le site de J. Friggit dont ils sont extraits. Je n’ai pas les moyens de les poster en grand, mais ils sont lisibles qd même.
Et encore un sondage et un! Et devinez quoi? Je ne sais pas si c’est l’effet Don Quichotte, mais les priorites des Francais ont evolue:
« Le logement est toujours placé dans les priorités des Français. Ils sont 45% à citer le logement, avec une forte progression de 21% entre 2006 et 2005, toujours derrière l’emploi (72%) et les retraites (46%) mais loin devant la santé (33%), l’éducation (32%), les impôts (27%), l’environnement (26%), la justice (24%), la sécurité (20%). La mondialisation arrive en dernier avec 6%. »
… et ils pensent un peu comme sur le blog:
« Ils sont 64% à penser que les candidats à l’élection présidentielle ont pris conscience de la crise du logement, et placent en tête des mesures à prendre: « accroître le nombre de logements sociaux » (89%), « encadrer les prix des loyers et des transactions immobilières » (88%), « construire davantage de logements en accession à la propriété » et « instaurer le droit au logement » (87%). » http://fr.biz.yahoo.com/31012007/202/logement-situation-difficile-qui-devrait-s-ameliorer.htm
Et la BCE met en garde:
« Les marchés financiers semblent considérer que l’économie mondiale devrait évoluer selon un « scénario parfait », où l’inflation serait maîtrisée, la croissance du produit intérieur brut soutenue et les profits des entreprises en augmentation régulière », juge la Banque.
« L’inflation mondiale peut croître, dans un contexte de liquidités abondantes, de pleine utilisation des capacités de production et de faible taux de chômage dans beaucoup de pays (…). De même, la croissance peut ralentir plus fortement que prévu à cause d’une détérioration du marché de l’immobilier aux Etats-Unis, de la montée de pressions protectionnistes, voire d’ajustements désordonnés sur les marchés de change qu’induirait une aggravation des déséquilibres de paiements courants », écrit-elle. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-861830@51-852480,0.html
Lorsque les Etats Unis éternuent c’est l’Europe qui s’enrhume
Benjamin, en réalité les délais de vente moyens s’allongent mais ils sont tirés vers le haut par les invendus qui trouvent preneur au bout d’un an voir plus, après bien sur avoir vu leur prix revenir au niveau du marché.
Les biens au prix du marché trouvent toujours preneur dans des délais très courts.
Malheureusement il n’existe aucun suivi de ces ratios et cela pour plusieurs raisons:
1/ La plupart des agence ne se posent pas la question de l’analyse qualitative de leur stock
2/ Ces informations existe uniquement en interne et ne sont pas communiquée aux fédérations (FNAIM, SNPI, CNAB, etc..)
3/ Les seuls à réellement étudier ces chiffres sont les réseaux immobiliers et ces chiffres restent imprécis et plutôt confidentiels.
Par contre les statistiques traitent généralement des prix de ventes finaux, pas des prix de présentation. Néanmoins ces prix de ventes dépendent aussi du type et de la qualité des logements vendus, il faut aussi prendre en compte que ces statistiques parlent généralement de l’evolution des prix de vente au m2 habitable.
De manière générale sur un marché ou les prix montent les acheteurs finissent par ce rabattre sur des logements de surface moindre, hors ce sont ces logements là qui affichent les ratios de prix au m2 les plus élevés, on peut rajouter à cela que face à une augmentation de l’offre ce sont d’abord les logements qui présentent le plus d’attrait (notament balcon, terrasse, cave, etc..) qui se vendent, or ces attraits supplémentaires ne se reflètent pas dans la surface habitable et contribuent donc à augmenter le ratio prix au m2…
Jey, quel est alors le réel prix du marché ?
Je ne comprend pas car on annonce une hausse continue du marché, cela veut dire qu’un bien mis en vente sur le marché à 180 000
Michel, le prix du marché c’est celui que l’acheteur est moyen est désireux de payer pour acquérir un logement.
Il est impossible d’avoir une valeure précise car d’un acheteur à l’autre les désirs et moyens ne sont pas les mêmes. Généralement on admet une fourchette de + ou – 5%
Ce que je disais plus haut c’est queles statistiques traitent (presque) toujours de prix moyen au m2 habitable et que ce fameux prix au m2 n’est pas très représentatif du marché.
En général le prix au m2 d’un studio est plus élevé que celui d’un 2 pièces qui est lui même plus élevé que celui d’un 3 pièces etc…
Sur deux périodes données (A et B), avec des prix similaires si il y a plus de petits logements vendus dnas la période B que dans la période A alors le prix moyen au m2 augmente, pourtant les prix des logements n’ont pas évolués.
De même pour les maisons les prix sont (presque) toujours aussi annoncé en prix au m2 habitable mais il n’existe aucune obligation de mesurage et donc de contrôle du prix déclaré lors de l’acte notarié. Le prix au m2 habitable ne reflète pas non plus la surface du terrain vendu avec la maison.
Ceci pour dire que les chiffres publiés peuvent bien annoncer ce qu’ils veulent mais que la nature même de ces chiffres, qui constiste à comparer des prix au m2, les rends totalement faux et non représentatifs…
« En revanche, la connaissance de la baisse mi ou fin 2007 risque de porter un coup sensible au futur gouvernement ».
Et pas seulement qu’au futur gouvernement!
Pour moi une baisse de 13% au Etats-Unis n’est pas un crack, on a bien vu il y a peu des hausses par an bien plus importante que cela…
Alors attendons pour voir…
135-140% ? heu… une source ?
Toutes les sources, The Economist pour commencer. Qui avait dit 137% ou 138 %.
Lisez les articles de la rubrique indicateurs
http://www.le-blog-immobilier.com/indicateurs/index.html
Heu Marie desole je suis pas d’accord avec ce que tu dis c’est rare, tu dis:
« Au Royaume-Uni, le marché hésite depuis mi-2005. Le haut de cycle semble atteint. »
Les prix ont en effet hesite en 2005 car les anglais attendaient une forte baisse en 2005 un minikrack, les economistes se sont plantes grave d’ailleurs, mais a partir de la fin de l’annee, vu que la baisse n’etait pas forte 2-3% seulement, ils ont repris confiance dans l’immo qui ne baisse jamais et petit a petit en absence de krack avere, ils se sont remis a acheter particulierement a Londres, capitale econmique du pays qui tire les prix a la hausse.
Les bonus de la City se sont deverses ensuite debut 2006 sur le marche immo et celui-ci est reparti en forte hausse, +10% a Londres sur l’annee…
A croire meme que la BoE a decide d’augmenter ses taux plus fort et plus vite qu’anticipe pour calmer la surchauffe. Taux a +5% et immo record on est certes pret et mur pour la baisse mais celle-ci n’a pas encore eu lieu…
J’espere juste pour vous que la France ne vas pas suivre l’exemple anglais sinon la baisse n’est pas pour tout de suite apres 1-1,5ans de stabilite il pourrait meme y a voir un nouveau rush de 10% comme chez las anglais, mais perso je n’y crois pas, la hausse a assez dure (8ans c’est pas mal non?) car la France suit toujours plus les americains que les anglais, comme en bourse!
Pas de crach en vue ? Rien n’est moins sûr.
Mais il est clair que les constructeurs ont réduit le nombre de constructions de façon notable.
http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?&news=3925517
Le ralentissement des mises en chantier, qui avaient grimpé de 13% en 2005, s’explique par la baisse de 9,8% sur un an d’octobre à décembre, « particulièrement prononcée dans le collectif et l’individuel groupé », respectivement en chute de 12,9% et 14,9%.
La barre des 400.000 mises en chantier avait été franchie en 2005, contre seulement 308.396 en 2000.
Le ministère de l’Equipement insiste toutefois sur la reprise des mises en chantier de bâtiments non résidentiels, qui ont progressé l’an dernier de 5,9% à 38.839 après une légère baisse de 0,1% en 2005, « année de faible activité ».
Mais…
AFP « 561 737 permis de construire ont été autorisés en 2006, soit une hausse de 10 % par rapport aux 12 mois précédents… »
Construction: 420.894 logements ont été mis en chantier en France en 2006
PARIS, 30 jan 2007 (AFP) – Les mises en chantier en France ont augmenté de
2,6% en 2006 par rapport à 2005 pour atteindre 420.894, un chiffre moins élevé
que prévu liée à la chute de près de 10% enregistrée au dernier trimestre, a
annoncé mardi le ministère de l’Equipement dans un communiqué.
Le nombre de permis de construire a en revanche progressé de 10,0% sur un
an, à 561.737, une croissance encore « forte » après des hausses de 22 et 12% en
2004 et 2005, tirée par le logement collectif qui gagne 16,2% et rattrape
pratiquement l’habitat individuel (+4,4%), selon le ministère.
Le ralentissement des mises en chantier, qui avaient grimpé de 13% en 2005,
s’explique par la baisse de 9,8% d’octobre à décembre par rapport au dernier
trimestre de l’année précédente, « particulièrement prononcée dans le collectif
et l’individuel groupé », respectivement en chute de 12,9% et 14,9%.
La barre des 400.000 mises en chantier avait été franchie en 2005, contre
seulement 308.396 en 2000.
Le ministère de l’Equipement insiste toutefois sur la reprise des mises en
chantier de bâtiments non résidentiels, qui ont progressé l’an dernier de 5,9% à
38.839 après une légère baisse de 0,1% en 2005, « année de faible activité ».
Le ministre de la Cohésion sociale et du Logement, Jean-Louis Borloo,
s’était félicité fin décembre d’une « année des records de la construction en
France », tandis que la Fédération française du bâtiment qualifiait 2006
d' »excellent millésime ».
cfe/ros/swi
AFP
Marie,
Peux tu me renvoyer un mail à mon adresse.
Cdt..
J’ai un métier basé sur le relationnel, et quand on discute avec les gens on se rend compte quand 1 an 1.5 ans la baisse de l’immo commence à s’intégrer dans l’esprit collectif et tout le monde et d’accord pour dire que cela et trop cher et même que cela va baissé chose qu’on aurait jamis dit il ya deux ans. Je pense que pour les années à venir les acheteur potentiel se montreront trés prudant!!!
Il est vrai que l’on ne parle pas beaucoup du crack immobilier qui a lieu aux Etats Unis de peur qu’il y ait un impacte trop rapide et trop fort sur la France (et oui le protectionisme avant tout merci les médias)
En effet les chiffres publiés sont souvant publiés en retard comme pour le crack de 1989/1990, les chiffres des notaires annonçant la baisse sont apparus 1 an après le crack !
La Fnaim est aussi en retard lors de la publication des chiffres. Vous pourrez constater que les infos sont plus pertinantes lors des vacances (un clin d’oeil pour les stagiaires).
Crack de 89/90 étrangement des lots considérables de logements ont innondés le marché mis en ventes par des banques et des assurances…
Il est vrai que les chiffres publiés actuellement mettent en évidence une légère hausse des prix du marché immobilier. Les prix augmentent bien sur, il n’y a rien de plus simple à faire, mais les biens sont-ils vendus ou vendables?
Quelle est le taux de rotation d’un bien immobilier? Combien de biens sont sur le marché depuis plus d’un an ? Combien de biens immoblilier on été retirés de la vente car invendables ? Le délai de vente est de plus en plus long ! Mais ça les chiffres n’en parlent pas.
Un ami voulait vendre en 2004 son pavillon 160000
Pour djeg7 :
malheureusement, il y a encore des gens qui sont convaincus que ca ne peut pas baisser… Il n’y a aucun arguments pour appuyer la hausse, et il y en a tellement qui indiquent une baisse prochaine… et pourtant, certains continuent à y croire et ce ne sont pas des neuneus… La désinformation fonctionne bien…
Jean-Louis, c’est toujours le même problème, certains parlent de prix de présentation et d’autre de prix de vente…
Le prix de marché c’est les prix de vente, pas les prix de présentation.
Concernant les délais de vente certains comme century 21 annoncent autour de 70 jours, d’autres parlent de 90 jours. En fait on parle des délais de commercialisation des biens qui se vendent, hors seuls se vendent les biens dont le prix de présentation est proche du prix de marché, donc ces délais n’intègrent pas la commercialisation des invendus.
Aujourd’hui si vous demandez à une agence quel est le ratio de son portefeuille de logements qu’elle considère comme « vendable » vous verrez que ce ratio est rarement au dessus de 20%
Concernant le taux de rotation, dans la profession on l’estime à 6% au niveau national, c’est à dire que sur 100 logements 6 se vendront dans l’année.
Remarque pertinente et information intéressante, Jey. Comme quoi, les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas
Données et infos très intéressantes Jey merci.
Pour info, la barre des 700 000 annonces est franchie sur se loger . com. Ca ne cesse de monter.
Succés du site ou explosion des biens mis en vente/location et ne trouvant pas preneurs ?
Attention il s’agit de 615 211 logements à le vente sur se loger.com
Combien étaient en vente il y a un mois ?
Je ne peux rajouter qu’une chose : BRAVO ! C’est très précisement mon avis.
Merci cassonslesprix
Flyman, c’est bien les Américains que j’avais en tête. Je colle les deux phrases dans le même paragraphe pour plus de clareté.
L’Angleterre, me dit-on, a vu les prix remonter à cause des bonus de la City, et chaque année, vers nov, déc, jan, qd les bonus tombent en dépit du bon sens, la pierre repart encore, mais globalement dans le reste du pays, la flambée serait arrivée au bout. Il y a qd même un plateau dans les graphiques reprenant les données nationales.
Votre graphique est illisible. Vous devriez en proposer un plus gros, afin qu’on puisse lire les dates 🙂
je suis l’évolution des annonces sur ouest franc immo et sur seloger(achat + loc) depuis fin novembre presque tous les jours.
entre nov et aujourd’hui + 15% sur ouest france (on passe de 46000 à 53000) et + 8% sur seloger.com (on passe de 655000 à presque 710000)
En Angleterre ils sont arrivés à un tel taux d’endettement qu’ils n’ont même plus les pieds sur terre.
Ils sont obligés d’acheter un apart ou une maison à plusieurs couples afin de pouvoir s’offrir un logement.
Tout comme la location ou l’on stock 12 personnes dans une maison!
Je ne sais pas ce que vous en pensé, mais je trouve l’emprunt à 50 ans très intéressant pour maintenir les prix de l’immo vers le haut
Merci Hudson, force est de constater que les stocks de biens immoblilier augmentent de manière considérable
Oui, Michel, et c’est pareil en Irlande. Locations ou achats de logements à plusieurs.
C’est étonnant de constater que les premiers sites qui s’affichent sur google sont des blogs immobliliers élaborés par des médias comme France2 et France3? Ou bien mis en place par des pros de l’immo !
oui, ils ce sont des coquilles vides, il n’y a rien dedans, maisça fait 2 ans que c’est comme ça.
Matthieu, c’est le schtrumpf grincheux, la dernière fois il a râlé parce qu’un lien ne s’ouvrait pas. Et un compliment, tu saurais faire, Mat ?
Les graphiques sont à consulter sur le site de J. Friggit dont ils sont extraits. Je n’ai pas les moyens de les poster en grand, mais ils sont lisibles qd même.
Et encore un sondage et un! Et devinez quoi? Je ne sais pas si c’est l’effet Don Quichotte, mais les priorites des Francais ont evolue:
« Le logement est toujours placé dans les priorités des Français. Ils sont 45% à citer le logement, avec une forte progression de 21% entre 2006 et 2005, toujours derrière l’emploi (72%) et les retraites (46%) mais loin devant la santé (33%), l’éducation (32%), les impôts (27%), l’environnement (26%), la justice (24%), la sécurité (20%). La mondialisation arrive en dernier avec 6%. »
… et ils pensent un peu comme sur le blog:
« Ils sont 64% à penser que les candidats à l’élection présidentielle ont pris conscience de la crise du logement, et placent en tête des mesures à prendre: « accroître le nombre de logements sociaux » (89%), « encadrer les prix des loyers et des transactions immobilières » (88%), « construire davantage de logements en accession à la propriété » et « instaurer le droit au logement » (87%). »
http://fr.biz.yahoo.com/31012007/202/logement-situation-difficile-qui-devrait-s-ameliorer.htm
Et la BCE met en garde:
« Les marchés financiers semblent considérer que l’économie mondiale devrait évoluer selon un « scénario parfait », où l’inflation serait maîtrisée, la croissance du produit intérieur brut soutenue et les profits des entreprises en augmentation régulière », juge la Banque.
« L’inflation mondiale peut croître, dans un contexte de liquidités abondantes, de pleine utilisation des capacités de production et de faible taux de chômage dans beaucoup de pays (…). De même, la croissance peut ralentir plus fortement que prévu à cause d’une détérioration du marché de l’immobilier aux Etats-Unis, de la montée de pressions protectionnistes, voire d’ajustements désordonnés sur les marchés de change qu’induirait une aggravation des déséquilibres de paiements courants », écrit-elle.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-861830@51-852480,0.html
Lorsque les Etats Unis éternuent c’est l’Europe qui s’enrhume
Benjamin, en réalité les délais de vente moyens s’allongent mais ils sont tirés vers le haut par les invendus qui trouvent preneur au bout d’un an voir plus, après bien sur avoir vu leur prix revenir au niveau du marché.
Les biens au prix du marché trouvent toujours preneur dans des délais très courts.
Malheureusement il n’existe aucun suivi de ces ratios et cela pour plusieurs raisons:
1/ La plupart des agence ne se posent pas la question de l’analyse qualitative de leur stock
2/ Ces informations existe uniquement en interne et ne sont pas communiquée aux fédérations (FNAIM, SNPI, CNAB, etc..)
3/ Les seuls à réellement étudier ces chiffres sont les réseaux immobiliers et ces chiffres restent imprécis et plutôt confidentiels.
Par contre les statistiques traitent généralement des prix de ventes finaux, pas des prix de présentation. Néanmoins ces prix de ventes dépendent aussi du type et de la qualité des logements vendus, il faut aussi prendre en compte que ces statistiques parlent généralement de l’evolution des prix de vente au m2 habitable.
De manière générale sur un marché ou les prix montent les acheteurs finissent par ce rabattre sur des logements de surface moindre, hors ce sont ces logements là qui affichent les ratios de prix au m2 les plus élevés, on peut rajouter à cela que face à une augmentation de l’offre ce sont d’abord les logements qui présentent le plus d’attrait (notament balcon, terrasse, cave, etc..) qui se vendent, or ces attraits supplémentaires ne se reflètent pas dans la surface habitable et contribuent donc à augmenter le ratio prix au m2…
Jey, quel est alors le réel prix du marché ?
Je ne comprend pas car on annonce une hausse continue du marché, cela veut dire qu’un bien mis en vente sur le marché à 180 000
Michel, le prix du marché c’est celui que l’acheteur est moyen est désireux de payer pour acquérir un logement.
Il est impossible d’avoir une valeure précise car d’un acheteur à l’autre les désirs et moyens ne sont pas les mêmes. Généralement on admet une fourchette de + ou – 5%
Ce que je disais plus haut c’est queles statistiques traitent (presque) toujours de prix moyen au m2 habitable et que ce fameux prix au m2 n’est pas très représentatif du marché.
En général le prix au m2 d’un studio est plus élevé que celui d’un 2 pièces qui est lui même plus élevé que celui d’un 3 pièces etc…
Sur deux périodes données (A et B), avec des prix similaires si il y a plus de petits logements vendus dnas la période B que dans la période A alors le prix moyen au m2 augmente, pourtant les prix des logements n’ont pas évolués.
De même pour les maisons les prix sont (presque) toujours aussi annoncé en prix au m2 habitable mais il n’existe aucune obligation de mesurage et donc de contrôle du prix déclaré lors de l’acte notarié. Le prix au m2 habitable ne reflète pas non plus la surface du terrain vendu avec la maison.
Ceci pour dire que les chiffres publiés peuvent bien annoncer ce qu’ils veulent mais que la nature même de ces chiffres, qui constiste à comparer des prix au m2, les rends totalement faux et non représentatifs…