Immobilier : baisses locales confirmées, avec des pincettes

Voici un résumé de nos écrits du net, saupaudré d’une sauce haussière. Nous savons queles chiffres donnés par la FNAIM sont de très loin suréavalués, et que ce n’est pas le moment d’acheter. Mouillart ressort son arguement fétiche du moment, « le marché est bloqué pour cause d’élections ». Mais que va-t-il pouvoir broder dans 15 jours ?

« Répit ou début des turbulences ? » Michel Mouillart, redonne une fois de plus son arguement fétiche (il faut bien justifier sa mauvaise fois) lattentisme des acheteurs est dû à la période électorale. Mais heureusement, d’autres analystes sont plus indépendants, et « se montrent plus pessimistes comme le BIPE qui table sur une baisse des prix de 2 % en 2007 ».

« Certains sont franchement alarmistes, comme Precepta, société associée au bureau d’analyses Xerfi qui prévoit d’ici à trois ans une chute de 25 %. Un scénario que les professionnels de l’immobilier réfutent… sauf si la Banque centrale européenne remontait franchement ses taux ou s’il y avait un krach mondial. »

On nous dit à la fin que c’est le moment d’acheter car on peut négocier. On se paie notre tête, et pour les journalistes des Echos, l’argent (du BTP) n’a pas l’odeur (du ciment). N’achetez surtout pas en ce moment ! Vous avez attendu, tenez bon. Ces quelques % ce n’est pas la panacée, pensez aux frais de notaires, et à une baisse de % si vous devez revendre vite. Car désormais le marché immobilier baisse, partout où il est monté.

Source : un article pas terrible des Echos, Le vendeur n’est plus roi, mais il faut acheter en ce moment quand même, ouais !

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