Suite aux inondations de 2005, de 2002, la commission européenne a décidé de plancher sur les risques d’inondations. Louable intention. En effet le bilan financier et humain est catastrophique. Plus de 25 milliards d’euros et des centaines de morts.
Planification à long terme est le maitre mot. A savoir ;
– avant 2011, évaluation préliminaire des risques, pour,
– dés 2013, avoir des cartes de zones inondables, pour
– en 2015 élaborer des plans de gestion.
Il faut comprendre que l’Europe, comme on le sait est une terre vierge, sauvage, peuplée depuis peu et sur laquelle la population, les états (fraichements installés) n’ont aucune donnée.
Il faudra éviter de construire zone industrielle et habitations sur les zones inondables (mesure phare dont on devine qu’elle est le fruit de nuits blanches de cogitations poussées, voire de simulations scientifiques, et de réunions d’experts).
Pour cela, il faudra tenir des plans d’occupation des sols actualisés avec le risque d’inondation.
On voit tout de suite que l’argent du contribuable européen n’est pas dépensé en vaines palabres et bureaucratie incompétente.
Je résume donc le propos :
1) on regarde où ça mouille,
2) on y construit pas,
3) on se fait une bouffe en 2018, oh pardon, une commission d’évaluation…
Reste à savoir :
1) ont ils pensé à retenir le resto ?
2) j’appelle à cotisation (envoyez vos promesses de dons) pour leur offrir l’instrument ci-contre (en inox inusable, trés bonne qualité) indispensable à la poursuite de leurs travaux (ils risquent de durer longtemps).