Logement : analyse des mesures des candidats aux présidentielles 4/4

Bon, c’est le dernier volet sur les présidentielles, 4 ou 5 notes en tout, et quelques posts durant les mois précédents. Avouez que c’est modeste, quand on sait que tout est politique et politisé en France, le logement étant très représenatif de cette réalité. Il ne faut jamais perdre de vue les hautes sphères pour aborder un sujet aussi terre à terre que l’immobilier et davantage encore le foncier.

Je ne me lance plus dans des analyses qui sont faites ici et là, et que nous avons examiné sur mon blog immobilier, mais je vous communique cet article envoyé par Laurent : Immobilier et présidentielle: qu’attendre des deux finalistes ? Source : Universimmo, Immobilier et présidentielle: qu’attendre des deux finalistes ?

Curieusement le logement, thème central de la campagne électorale en raison des difficultés d’un nombre croissant de français du fait de la flambée des prix et des loyers du secteur privé ou de la pénurie de logement social, a finalement été escamoté par des sujets de dispute plus « classiques » comme la sécurité et l’immigration !

Le mouvement des « Don Quichotte », désamorcé par la loi sur le droit au logement opposable, a fait long feu, et les programmes des candidats du second tour en sont restés aux incantations du début : pour l’un une France de propriétaires, et pour l’autre un bouclier logement, un « service public de la caution », et 120.000 logements sociaux nouveaux par an, sans que l’on sache exactement comment sera obtenu ce « coup de rein » par rapport à la production actuelle, qui atteint péniblement 80.000, et encore… Chacun saura y trouver son compte ? Pas sûr, et une lecture entre les lignes s’impose…

Et je vous invite à la faire, cette lecture, directement sur le site d’Universimmo.

C’est le quatrième et dernier volet de cette série, et moi je fonce fermer mes volets avant que le vent ne me les arrache ! Sur Paris, il pleut déjà ! La tempête arrive sur l’ouest. Dimanche, votez en votre âme et conscience, mes amis, mais ne soyez pas inquiets. Après le 6 mai 2007, quelque soit le candidat élu, vous vivrez dans un pays moderne, assez bien « loti », et qui a assez de garde-fous pour demeurer une démocratie, même s’il ne se gère pas aussi bien qu’il le pourrait. D’où notre éternelle humeur insatisfaite et râleuse. Je l’ai encore constaté dans le RER aujourd’hui.

Logement : analyse des mesures des candidats aux présidentielles 1/4

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Logement : analyse des mesures des candidats aux présidentielles 4/4