La baisse des prix immobiliers dans l’Hérault

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« Bonjour Marie, On constate une baisse de 10 – 15 % des prix d’après ce Monsieur FNAIM de l’Hérault. Cordialement et merci pour le super boulot. House Mouse. »

Et les conjoints freinent désormais leur deuxième moitié… hé hé !

Merci à House Mouse pour le lien et le début du résumé ! Je continue dans quelques instants…

« Comment se comporte votre marché (immobilier) de votre région actuellement ?

La grande tendance en ce qui concerne l’Hérault : changement de cycle, rupture de cycle, l’acheteur devenant extrêment prudent, ne suivant plus du tout le vendeur au niveau où il veut l’amener (c’est-à-dire au niveau) des prix de 2004 – 2005. C’est par le haut de gamme qu’est venu le seuil de rupture. Là où les clients fortunés, qui font des achats de confort, peuvent reporter le projet d’achat, et l’un des conjoints dit qu’il est urgent de reporter le projet ou d’aller voir ailleurs. C’est par là qu’est venu le signe avant-courreur, qui ensuite s’est généralisé sur tous les segments du marché. On constate aujourd’hui une baisse de 10 à 15 % des prix, sans pratiquement de nuance.

Pour vous, qu’est-ce qu’apporte en plus un professionnel par rapport à un particulier ?

Une des clés pour amortir et s’en tenir à cette baisse de 10 à 15 % passe par la réussite ou pas des fichiers communs. »

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  2. J’avais vu cette vidéo sur le blog logic-Immo, ce Mister FNAIM dit « en cette fin d’année » ce qui veut dire que celle-ci n’est pas franchement récente.
    Je ne connais pas ce secteur mais je doute, que la situation soit nettement plus florisante aujourd’hui.

  3. Midi Libre
    Les loyers se négocient
    Le rapport de force s’est inversé. A l’issue d’une enquête menée en 2006 auprès de 34 professionnels héraultais de l’immobilier, l’Adil a eu la confirmation d’une tendance ressentie par un certain nombre de particuliers : la diminution de la pression sur les locations, notamment à Montpellier et Béziers : « Avec les acquisitions importantes d’investisseurs, on est bien entré dans une phase de détente du marché », indique Augustin Chomel, qui fait remonter le phénomène au second semestre 2006, avec une « accentuation » en 2007.
    L’un des effets de cette accalmie est l’apparition d’un « stock » de logements disponibles à la location et d’un allongement du temps de relocation d’un bien, d’un à deux mois supplémentaires. « Une agence nous informe que, pour trois visites faites l’année précédente, aujourd’hui, elle en fait jusqu’à dix. Cette remarque concerne surtout le segment de marché des petits logements, voire celui des T3 » note l’Adil dans son enquête.
    Ce rééquilibrage entre l’offre et la demande a une autre conséquence : la négociation du montant des loyers par les responsables des agences immobilières eux-mêmes auprès des propriétaires. « Cette négociation est pratiquée depuis seulement quelques mois mais elle est devenue une pratique générale des professionnels de l’immobilier », précise l’Adil. Selon Augustin Chomel, les baisses des loyers peuvent aller de 20 à 200

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