Les canalisations

les canalisations d’une maison individuelle peuvent être de types différents suivants les époques de construction, qui tous ont leurs avantages et inconvénients, surtout révélé à l’usage du temps. Tout d’abord, la fonte. Utilisé surtout pour les canalisations d’évacuations, elle n’est utilisé désormais que dans des usages indispensables. C’est à dire les usages intensifs pour lesquels le PVC, n’est pas adéquats, soit que la chaleur provenant de l’usage le fasse fuir, soit que les contraintes mécaniques soient trop fortes. Le fibrociment (ciment à 10 % d’amiante) rencontre tous les problèmes de l’amiante, c’est à dire le dépiegeage lent ou brutal, suivant les travaux. Mais ses qualités mécaniques sont trés bonnes. A l’heure actuelle, il n’en existe plus sur le marché, et il est interdit

de le travailler, sauf précautions dantesques. Le grand vainqueur est désormais le Pvc, tellement facile à poser que souvent les précautions élèmentaires ne sont pas prises. Bonne pose, pentes trop peu prononcées, ou pire contrepentes, sont les signes d’une main d’oeuvre formé à la va-vite, ou pas formée du tout. Les symptômes sont classiques : l’encombrement et la mauvaise évacuation des eaux. De plus en extérieur les pvc semblent mal vieillir, surtout les collecteurs de pluies.
L’acier et l’acier galvanisé ne sont plus utilisés dans les habitations, pour la simple raison qu’il n’existe plus de main d’oeuvre qualifié. Le cuivre n’est pas plus facile à mettre en oeuvre. Cuivre, acier et fonte se marient mal avec le contact du ciment sur le long terme, ce qui fait qu’on utilise plutôt désormais polyéthyléne réticulé et polybuthène (hydrocablé). Pas forcément plus évident à mettre en place. Là aussi, les erreurs graves sont vites commises, et comme ils sont souvent passés en dalle, elles ne sont pas facilement amendables. Le cuivre disparait progressivement de la construction, pour une raison : son coût. Désormais, 400 à 800 kg de cuivre dans une maison sont prohibitifs.