Raisons de ne pas désespérer.

Images_4 Le « Monde » fait dans l’humour et le comique de situation.
Résumons :
– les secteurs financiers US et européens sont par terre,
– crise immobilière,
– crédit crunch,
– inflation alimentaire et matières premières, dont pétrole,
– stagnation salariale (salauds de pauvres !).

En face, il y a de quoi être inquiet (les raisons de ne pas désespérer :
– croissance faible mais positive (comme l’inflation est sous évaluée de moitié, au minimum, nous sommes donc en récession),
– pays émergents en forte croissance (comme ce sont des économies extroverties au profit des économies occidentales, il n’y a rien à en espérer, là aussi, l’inflation officielle est de l’ordre du ridicule),
– « résistance impressionnante » des économies occidentales au prix du pétrole, ( bien entendu, que les économies des ménages fondent, que les compagnies aériennes soient au bord du collapsus, ainsi que la totalité des constructeurs automobiles américains n’est pas pris en compte),
– relances (avec de la fausse monnaie : RTT, participation en France, chèques fiscaux aux USA, donc, rien qui ne puisse perdurer),
Mais, ce qui est l’aveu, arrive en dernier :  »  renoncer à défendre ses parts de marché peut se révéler un bien mauvais calcul à moyen terme   » et spirale négative dues aux mesures gouvernementales.
On peut voir, dans le recul généralisé des constructeurs automobiles nationaux, quasiment partout dans les pays développés, un classique « lâcher la proie pour l’ombre« .
On essaie de conquérir, là-bas, des positions perdues, ici.
Le PDG de publicis semble et feint d’ignorer que sa propagande, la pub, s’est généralisé quand les augmentations de salaires ont faiblis.
Son travail, crée par la pénurie de revenus, finit, lui aussi, par en être victime.
Là aussi, une méthode Coué.

Mardi 5 août 2008