Alors que l’on atteint des stocks records, certains disent : « plutôt que brader, je préfères louer, en attendant… »
Cette politique aussi a ses limites.
Car, en général, là où l’on vend mal, on loue mal aussi.
La cause la plus importante étant souvent le défaut de population.
Les deux hausses, hausses des loyers, hausses des prix de ventes, étaient voisines, complices et se nourrissaient l’une l’autre.
Chez moi, il y a dix ans, il n’y avait pas une agence immobilière.
Cela ne servait à rien disaient les propriétaires, on arrivait toujours à louer, l’un arrivait quand l’autre partait, le bouche-à-oreille fonctionnait pleinement.
le marché était équilibré et leurs prétentions, honnêtes.
Aujourd’hui la donne a changé.
Les loyers ont flambés, les constructions se sont multipliées.
les agences ont fleuris, pour la vente et la location, parmi celles qui se contentaient de vendre certaines ont sombrées.
Désormais, on ne loue plus, on ne vend pas non plus, ou avec beaucoup de peines.
Entre deux locations, c’est 8 mois d’attente, et une seule marge de négociation : le prix.
Bien entendu, on loue refait, tapisseries et peintures, sans défauts.
La tribune, le journal local le disait.
50 à 100 euros de baisses pour un F3 (de 300 à 400 avant la baisse), et après, bien le bonjour pour faire avaler des hausses, ultérieurement.
Le tout, pour un propriétaire est de rester les pieds sur terre.
Combien ai-je acheté ? Si je vends à tel prix, est-ce que je fais un bénéfice.
Comme le disait un agent immobilier, ce n’est pas brader de vendre 150 000 euros (près d’un million de francs), une maison acheté 500 000 francs en 2000.
C’est avoir raté la bonne affaire maximale, mais c’est quand même une bonne affaire.
Ne pas vendre, c’est s’exposer à une moins bonne affaire encore.
Jeudi 6 août 2008
sauf que la majorité des français sont propriétaires pour se loger et pas pour spéculer.
Et d’ailleurs quelle spéculation quand l’immobilier augmente de 150% sur 25 ans.
ca fait du 5-6% annuel;
tu parles d’une spéculation quand on compare au prix de l’alimentation, de l’énergie et de la santé.
ça c’est de la spéculation:
http://finance.yahoo.com/echarts?s=^DJI#chart2:symbol=^dji;range=my;indicator=volume;charttype=line;crosshair=on;ohlcvalues=0;logscale=off;source=undefined
ou bien si s’en est pas le monde est drôlement riche et en croissance.
oui, bob, la majorité est propriétaire pour habiter, c’est un fait, mais ce qui fait le prix, c’est souvent la marge. Donc, le spéculateur a plus d’influence, que le proprio normal.
quand au prix, il est scotché à 2.5 fois les revenus annuels. au dela, et en deça, ce n’est pas bon.
SAUF QUE SUR PARIS POUR TROUVER UN BIEN A LA LOCATION PAS CHERE ET QUI SOIT BIEN. IL FAUT SE LEVER TOT
LE MARCHE PARISIEN RESTE POUR MA PART UN MARCHE A PART
Bob, c’est pas parce que les autres font pire que c’est une bonne raison pour faire pareil…
Moi j’arrive sur le marché qui a ‘fait’ 150% en 25 ans peut être mais 150% aussi en 5 ans et j’ai un peu l’impression qu’il y a une génération qui se sert un peu sur l’autre…
@soinnyc: certe un moindre mal n’est pas la meilleurs des choses mais il est important de souligner que la spéculation maximale et outranciére à été réalisé sur le marché actions depuis 30 ans.
*
+1000% (MILLE pourcents)en 25 ans pour le DOW JONES qui est censer représenter la richesse financiére de la 1ere puissance mondiale.
*
Le Dow est passé de 1.3K en 1988 à 14K en 2008(multiplié par plus de 10)
*
Une spéculation de 600% supérieure à la spéculation immobiliére.
*
Et pourtant, les américains moyens, depuis 30 ans
sont t’ils vraiment plus riches?
sont t’il mieux protégés?
sont t’ils mieux soignés?
sont t’ils mieux logés?
L’index dow jones :
11722 en 2000 (janvier)
11541 en 2008 (aujourd’hui)
-0.01% de croissance du dow jones sur 8 ans…pas terrible.
Maintenant on peut aussi voir le prix du pain en 1945 par rapport a 2008, je croit que l’investissement a rapporté pres de 10000%…qui en voudrait d’ailleurs apres tant d’années…le vin peut etre, du boursin?certainement.