J Attali craint les atteintes à la démocratie sous l’effet de la crise et de l’absence d’alternative porté par la gauche, et spécialement le parti socialiste.
Pour remettre les pendules à l’heure, on peut préciser un certain nombre de choses.
Tout d’abord, il n’y a rien de pire que les régimes fondés sur la raison. En effet, une fois défini la raison, les déviants sont, soit des fous, des des déviants (révisionnistes) car remettant en cause les versions officielles, ou quasi officielles.
La montée éternelle de l’immobilier par exemple.
Et, entre le monde officiel et la réalité, il y a comme qui dirait, un gouffre. Le chômage d’abord, officiellement à 8 % de la population active, plus surement à 19, sans doute à 25.
Ensuite, il y a le dynamisme de l’économie Zétazunienne.
On vient seulement de reconnaitre un an de récession, soit la plus longue depuis ? … 1929 ?
Les « partis de gouvernement » ont tous deux, quelque soit le pays, le même programme et sont interchangeables.
Les prisons sont pleines, ridiculisant le petit père des peuples.
Mais effectivement, si c’est un fascisme, c’est un « fascisme mou ».
Il se paie le luxe de proclamer certaines libertés formelles. Bon, il y a des bavures qui cassent l’ambiance, que je ne rappellerais pas. Mais qui dénotent d’un état d’esprit.
Enfin il n’est pas si mou que ça, quand on est du mauvais côté du manche.
Il possède aussi ses Oukazes (mode impératif on) soyez propriétaires, endettez-vous (mode impératif off).
Et comme dans toute dictature, la propagande a été telle et a tellement pénétré profondément l’inconscient, qu’on avait l’impression d’avoir UNE IDEE PERSONNELLE sur l’immobilier.
Alors, que, finalement, on ne faisait que véhiculer un slogan (slogan : cri de guerre).
Comme toute dictature, elle nie la réalité et sombre dans une déconfiture économique carabinée.
La crise immobilière a débordé sur la sphère financière, la sphère financière dans l’économie réelle.
On a voté pour les conseils de prud’homme aujourd’hui.
Pourtant on a consciencement détruit tous les garde-fous et contre pouvoirs internes, dont, notamment, les syndicats.
On leur demandait d’être « coopératifs » et « réalistes ».
Aujourd’hui, les gouvernants, multiples sont dans l’impasse. Ils découvrent avec effarement qu’ils ont détruits tous les instruments qui permettaient de piloter une société et il ne reste qu’un face à face, chinois, indien, US et européen, entre les peuples d’un côté, les dirigeants de l’autre, avec tous les risques de crise totalement incontrôlable et qui va devenir incontrôlable.
Mercredi 3 décembre 2008.
Merci Patrick, si il y a du attila je sort le sabre. Alors monsieur attila se plaint de la dérive d’un partie dont il dit lui même qui est a moitié mort. Donc la logique attilanienne « lorsque quelque chose politique est en train de mourir c’est un danger pour la démocratie ».
Est lui, attila, vivant c’est pas un danger pour l’intelect.
Seulement pour l’intellect des crédules et pour les bourses d’honnêtes gens.
Ceux qui connaissent la tactique d’Atilla s’amusent.
A la lecture attentive du lien « atteintes a la démocratie » on remarque qu’Attali-baba a comme un chaud au fesses.
Il craint également pour ses quarante voleurs [oh je sais qu’ils sont beaucoup plus nombreux que ça – c’est juste une boutade]
Alors, évidement ça fait plaisir>
Ce que craint Attali, et tout les membres de l’hyper-classe, dont ses représentants de la sphére politique, c’est une réaction populaire (ils appellent cela du fascisme) qui leur réclamerait des comptes.
Heureusement, y a tout un tas d’idiots utiles prêts à jouer les gardes rouges en criant « fascistes » pour pensée déviante.
Espérons que ces gardes rouges bénévoles aient également le frigo vide.
attila est une merde,un voyou,un escroc,une barbouze qui bouffe dans tous les rateliers…
Crier « fasciste », c’est rien à côté « d’antisémite », insulte suprême, mais aussi terme creux, vague …
Le sens qu’on doit donner au terme « antisémite », c’est plutôt celui-là:
Un « antisémite », ce n’est pas quelqu’un qui n’aime pas les juifs, c’est quelqu’un que les juifs n’aiment pas.
Attali « le gourbi » n’aime personne de toutes façons. Y a un Nicolas Bouzou (bouse où ?) qui tente à le remplacer …
Là où les choses s’accèlereront, c’est quand la Vérité de ce qui s’est VRAIMENT passé au siècle dernier sortira, car la Vérité triomphe toujours. A un moment ou à un autre.
Ce qui est terrible, c’est que tout cette société dite démocratique-droidlommarde-« plujaméssa » avec la mémoire comme nouveau catéchisme obligatoire, est bâtie sur un gigantesque bobard.
Avec un pays ruiné et des ventres vides, ça risque d’être très violent, cette fois …
Ouf, j’ai eu peur, un article sur Attali sans attaque en piqué de notre escadrille de casques à pointe préférée aurait eu un air de soufflé manqué…
Tiens, pour rire, Jérôme, dites-nous tout sur ce fameux bobard (je me tâte entre « le protocole de Sion qui a juré la perte de l’humanité », « les chambres à gaz qui n’ont jamais existé » et « les juifs qui sont des éclaireurs de l’invasion martienne »)
Quitte à être aussi prévisible, tâchez au moins de nous faire rire un peu ! 😉
Affligeant.
Réinventer les mots du larousse sur le BI est innommable. Jérome, tu aurais écris ça sur un de mes posts, je te bannis du site. La seule dernière phrase est censée.
@ST : n’oublions pas que l’invasion commence à la TV, c’est une vraie confrérie.
On voudrait bien provoquer un gigantesque éclat de rire, mais parler en France, c’est 5 ans de taule et 45 000 rots d’amende.
Alors, rien en publique …
STPlaît, arrête de chercher à me faire dire, ce que de toutes façons, je ne te dirai jamais ici 😉
faut rien dire c’est verboten de parler
Vous me faites un peu penser à des mômes qui chuchotent des gros mots dans le dos de la maîtresse.
Votre bonheur n’est pas de défendre des idées, aussi dangereuses soient-elles, mais le simple frisson de la transgression. Si vous étiez un peu plus doués de vos mains, vous iriez taguer des trains plutôt, et le monde ne s’en porterait pas plus mal…
Pour en revenir au sujet du post, voir, dans le « Canard enchaîné » de cette semaine, l’article en page 5 : « retour à la caserne ».
Les grands esprits se rencontrent !
Et moi qui croyais ST(agiaire) en psychiatrie ; il n