OYEZ, OYEZ…

Images_2 Le parchemin venu de nostre bonne ville de Londres est clair :
« You’re about to become Iceland-on-Thames  « .
Le dernier a avoir réussi à détruire la Grande Bretagne de fond en comble, de manière soignée, sans rien oublier, sans l’envahir (ou juste un petit peu), c’est Louis XI.
(Source : l’historien Paul Murray Kendall)
Il avait remplacé un royaume conquérant, par un « état failli » qui mettra des dizaines d’années à se remettre sur pied, et plusieurs siècles à retrouver une place internationale.
Là, pas besoin de Louis XI pour transformer l’Angleterre en champ de rixe généralisée : ils ont réussi à faire ça tout seul cette fois ( c’est à cela que l’on voit les progrès de l’histoire).
Bien entendu, la Grande Bretagne n’est pas seule : le baston atteint la Lithuanie (c’est en Europe, vous savez, ce synonyme de paix).

Quand aux banques britanniques, désormais, elles ne prêtent plus à leurs employés (profession à risque).

(3 commentaires)

  1. Entièrement d’accord avec ce papier. Pour avoir systématiquement et méticuleusement détruit tous les secteurs créateurs de richesse, ce pays n’a plus rien. Des larmes (c’est sûr), de la sueur (ça reste à voir) et du sang (plus que probable), voilà pour horizon ce qui reste à nos amis d’Outre-Manche. Une société surpeuplée, minée par le multiculturalisme, avec à terme un chômage record, la quasi impossibilité d’opérer un retour à la terre (songeons seulement : une densité de population de 400 habitants au km2, près de 4 fois la densité de la France – c’est dire ce qu’il reste aux Anglais en terme d’espace agricole ! -, plus de 100 fois supérieure à celle de l’Islande qui pourra dans tous les cas s’en sortir en faisant de la pêche). Totalement dépendante pour tout, en particulier pour sa nourriture, n’ayant rien – ou presque rien – à offrir en échange, à part de brillants souvenirs, les saintes reliques de la City, et les derniers barils de pétrole vendus pour du vent, je ne donne pas cher de ce grand pays.

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