Acheter une maison de campagne devient superflu

314042539_ded32c31ce Le superflu désigne à l’origine ce qui n’est pas essentiel, ce qui est en trop. Ce mot est souvent associé aux idées de luxe, de gaspillage ou de surconsommation. Merci Wikipédia… Ce qui flambait il y a encore peu ne flambe plus, conséquence du climat économique actuelle, les ex-potentiels acheteurs (et vendeurs) de résidences secondaires serrent les fesses (désolé pour l’image), se rabattent sur l’essentiel, c’est à dire tenter de maintenir un niveau de vie pas si lointain en évitant les excès.

Ceux qui cherchent encore à acheter le font avec l’objectif de faire la bonne affaire,  à moindre frais, avec des propositions nettement plus basses que ce qu’envisagent les vendeurs. Le plus hallucinant, pour moi, c’est de lire dans cet article du Figaro que certains acheteurs n’hésitent pas à proposer direct un bon moins 50 % ! « – 50, c’est mon dernier mot ! » lis-je souvent d’un récurrent commentateur sur ce blog. Il ne faut pas délirer, le – 50 n’est pas pour tout de suite, il faudrait juste que le même rythme de baisse dure pendant 5 ans… Est-ce possible ? Vaste question…

Le Figaro.fr : « Maisons de campagne : le temps des bonnes affaires « 

Christophe Yanes

(16 commentaires)

  1. Pour moi c’est -20% pour retrouver la tendance de long terme, et -30% à cause des excès à la baisse…

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