Le grand manitou sonne le tocsin

Le Dow Jones s’est offert hier sa plus forte hausse en 19 mois…

Au même moment, le grand manitou monétaire Alan Greenspan est sorti de sa réserve : devant la commission budgétaire du Sénat, il a troqué son flegme aquatique pour un réquisitoire sur les risques encourus par l’économie américaine au cas où le déficit budgétaire continuerait à grossir encore et encore.

Par extension, le problème est : comment l’économie américaine va-t-elle honorer ses engagements financiers à l’égard de la vague de retraités issue du baby boom de l’après guerre ?

Deux solutions : élever les impôt et faire en sorte que l’épargne augmente.

Sinon, les taux d’intérêt risquent une hausse forcée, avec tous les dommages collatéraux que chacun sait – notamment sur la cascade d’endettement de l’économie américaine.

Le très vif rebond de Wall Street hier peut donc être interprété de cette façon :

Les marchés étaient en survente, les résultats trimestriels et les perspectives sont globalement assez bons et, paraxadoxalement, ils sont rassurés : le gouvernement américain est mis le dos au mur par l’homme le plus influent qui soit, il ne peut donc que réagir…

(10 commentaires)

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