Ce qui suit peut sembler en contradiction avec ce qui précède… Connais-toi toi-même et le marché t’aidera (5).
Mais l’univers boursier est un noeud de contradictions avec lequel il faut en permanence frayer.
Toujours plus…
L’avidité devient un vilain défaut dès lors qu’elle fait perdre sa lucidité à l’opérateur. Pour s’en prémunir, une solution méthodique consiste à prendre ses bénéfices dès que la position est gagnante de x%.
Le syndrome du joli coup…
Attention à ne pas se laisser griser par le joli coup de bourse, celui qui donne trop confiance en soi, remplit de suffisance, fait aimer exagérément le risque, prendre des positions mal soupesées et commettre des erreurs. Avoir réalisé un joli coup exige de renforcer son attention juste après, ne pas se déconcentrer. Par prudence, mieux vaut laisser un peu de temps s’écouler avant d’entreprendre une nouvelle opération.
L’argent coupable…
L’argent facile peut provoquer un sentiment de culpabilité chez le spéculateur. Cela a l’air bête, mais aux dires des coach des salles de marchés américaines, c’est un sentiment répandu parmi les jeunes traders, qui brident leurs capacités de gain – un défaut relativement mineur…