Le prix du gaz va monter de 4% au 1er juillet. Et d’ici au 1er avril 2006, la hausse sera d’au moins 14,6% – davantage si les prix du pétrole ne baissent pas.
A l’avenir, les tarifs du gaz évolueront tous les trois mois en fonction des variations des coûts d’approvisionnement et des autres charges.
Il est un poil maladroit de la part du Gouvernement d’avoir attendu la veille de la privatisation de Gaz de France pour décider de ces hausses de tarifs – cela ajoute aux clichés qui désignent toute privatisation comme fossoyeur du « service public ».
C’est néanmoins une bonne nouvelle pour les investisseurs pour qui les marges de GDF sont préservées.
Une conclusion s’impose : tous les usagers devraient tenter de gagner sur les actions ce qu’ils vont perdre en faisant la cuisine ou en se chauffant.
pas mal comme idée … au bout de quelques mois , le résultat est-il rentable ?