Même si les consommateurs ont du « mal » à en voir l’impact direct à la pompe, les prix du pétrole n’en finissent plus de baisser …
Les cours du brut ont poursuivi leur descente mardi, dans un marché relativement atone.
Les investisseurs demeurent incertains quant à l’impact réel des baisses de production décidées par l’Opep et le « devenir » de la demande de pétrole.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en février, nouveau contrat de référence, a fini à 38,98 dollars, en baisse de 93 cents par rapport à son cours de clôture de vendredi.
La séance aura une fois de plus été volatile, le baril oscillant entre 37,79 dollars, un nouveau plus bas pour le contrat, et 40,65 dollars.
Si le baril a été soutenu dans les premiers échanges par la baisse du dollar, les mauvaises statistiques américaines publiées ce jour ont pesé sur les cours.
Pour rappel, l’Opep a décidé le 17 décembre dernier de réduire une nouvelle fois son offre, de 2,2 millions de barils par jour, dans le but de stopper net la dégringolade des prix.
Mais si certes le cartel s’est faire de beau discours et clamer haut et fort qu’il va baisser sa production, reste tout de même à vérifier sur le terrain …. que tous les membres appliquent cette « sage » décision à la lettre …
Les marchés restent pour le moins sceptiques sur le sujet tout en s’interrogeant sur la capacitéde réaction de l’organisation.
Sources : AFP, Reuters
à
l’OPEC, il y a 2 pays qui sont à la hauteur: l’IRAN et le VENEZUELA, les autres pays comprennent rien au bizness du pétrol et ils subissent. ex: la grande saoudienne qui augmente la
prod. au lieu de diminuer.( été 2008) Joyeux Noel